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Par *Sylvie Ptitsa* le 30 Octobre 2010 à 00:00
Merci M.M. !
J'ai mis tant et tant de temps mon enfant
J'ai mis tant et tant de temps pour grandir
On met tant et tant de temps mon enfant
Tant et tant de temps pour devenir grand
J'ai mis tant et tant de jours mon enfant
J'ai mis tant et tant de jours pour bâtir
On met tant et tant de jours mon enfant
On met tant de jours pour faire sa maison
Le temps qu'il faut pour se connaître
Le temps qu'il faut pour accepter
Le temps qu'il faut pour naître
Et pour mourir aussi
Ne sont que le temps d'une vie
J'ai mis tant et tant de nuits mon enfant
J'ai mis tant et tant de nuits pour comprendre
On met tant et tant de nuits mon enfant
Tant de nuits pour vivre ses lendemains
Le temps qu'il faut pour se connaître
Le temps qu'il faut pour accepter
Le temps qu'il faut pour naître
Et pour mourir aussi
Ne sont que le temps d'une vie
J'ai mis tant et tant d'années mon enfant
J'ai mis tant et tant d'années pour aimer
On met tant et tant d'années mon enfant
Tant et tant d'années pour aimer le tempsJeanne-Marie SENS
5 commentaires -
Par *Sylvie Ptitsa* le 14 Octobre 2010 à 23:59
Je n'aime pas le doublage avec les voix françaises, je vous ai laissé la version en V.O.
Mais si vous ne comprenez pas les paroles, vous pouvez les lire ici .
votre commentaire -
Par *Sylvie Ptitsa* le 29 Septembre 2010 à 00:00
Eté 1868, quelque part dans le Grand Ouest
Il a sauté sur son cheval pour disparaître en un geste
La porte du saloon claque encore, dehors le vent fouette la poussière
Lui il galope vers son sort sans jamais regarder derrière
Est-ce qu'il cherche ou est-ce qu'il fuit, est-il sûr ou incertain
Est-ce qu'il tente de rattraper ou d'échapper à son destin
A quoi ressemble son avenir, une évidence ou un mystère
Il se fabrique un empire, il est fait d'ombre ou de lumière
De l'ombre ou de la lumière
Lequel des deux nous éclaire
Je marche vers le soleil
Dans les couleurs de l'hiverDe l'ombre ou de la lumière
Depuis le temps que j'espère
Retrouver dans un sourire
Toutes les lois de l'univers
C'est l'hiver en 2008, quelque part à Paris
J'ai démarré la voiture pour échapper à ce temps pourri
La porte du café tremble encore, dehors la pluie fouette le bitume
A chacun sa ruée vers l'or, j'accélère à travers la brume
Puisque mon temps est limité, mes choix doivent être à la hauteur
C'est une course contre la montre ou une course contre la peur
C'est toujours la même chevauchée, on vise la lueur droit devant
Même si cette quête est insensée, je cours pour me sentir vivant
De l'ombre ou de la lumière
Lequel des deux nous éclaire
On marche vers le soleil
Dans les couleurs de l'hiver
De l'ombre ou de la lumière
Depuis le temps que j'espère
Retrouver dans un sourire
Toutes les lois de l'univers
On court à travers les siècles, mais c'est toujours la même chevauchée
As-tu peur que la route s'achève, mais cette course est insensée
As-tu mis un nom sur toutes les lèvres, les lèvres
De l'ombre ou de la lumière
Des astres qui nous éclairent
On marche vers le soleil
Dans les couleurs de l'hiver
De l'ombre ou de la lumière
Depuis le temps qu'on espère
Retrouver dans un sourire
Toutes les lois de l'univers
Retrouver dans un sourire
Toutes les lois de l'univers
2 commentaires -
Par *Sylvie Ptitsa* le 21 Juin 2010 à 00:05
(c) Ptitsa
Sur le toit de l'hôtel où je vis avec toi
Quand j'attends ta venue mon amie
Que la nuit fait chanter plus fort et mieux que moi
Tous les chats tous les chat tous les chats
Que dit-on sur les toits que répètent les voix
De ces chats de ces chats qui s'ennuient
Des chansons que je sais que je traduis pour toi
Les voici les voici les voilà...Refrain:
Le soleil a rendez-vous avec la lune
Mais la lune n'est pas là et le soleil l'attend
Ici-bas souvent chacun pour sa chacune
Chacun doit en faire autant
La lune est là, la lune est là
La lune est là, mais le soleil ne la voit pas
Pour la trouver il faut la nuit
Il faut la nuit mais le soleil ne le sait pas et toujours luit
Le soleil a rendez-vous avec la lune
Mais la lune n'est pas là et le soleil l'attend
Papa dit qu'il a vu ça lui...Des savants avertis par la pluie et le vent
Annonçaient un jour la fin du monde
Les journaux commentaient en termes émouvants
Les avis les aveux des savants
Bien des gens affolés demandaient aux agents
Si le monde était pris dans la ronde
C'est alors que docteurs savants et professeurs
Entonnèrent subito tous en choeur :(Refrain)
Philosophes écoutez cette phrase est pour vous
Le bonheur est un astre volage
Qui s'enfuit à l'appel de bien des rendez-vous
Il s'efface il se meurt devant nous
Quand on croit qu'il est loin il est là tout près de vous
Il voyage il voyage il voyage
Puis il part il revient il s'en va n'importe où
Cherchez-le il est un peu partout...(Refrain)
© Paroles et Musique: Charles TRENET
1939
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