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Par *Sylvie Ptitsa* le 18 Avril 2016 à 14:44On nous vend des déprimes
Dans le sang qu'on imprime
Noir et blanc en douleurEt du vent et des peurs
On nous lance des intoxApparence en botox
Des désirs artificesPour finir pleins de vices
Mais foutez moi la paix
La paix
La paix
Celle que les enfants chantent
La paix
La paix
Celle que les rêves inventent
La paix
La paix dans ma télé
Au milieu de ces bombes
L'espoir d'une colombe
On nous croit bien docile
Et parfois imbécile
Des gens bien nous imposentLeur parfum d'eau de rose
Des envies virtuelles
Pour des prix irréels
On nous cloue dans des crisesEt l'on nous terrorise
Mais foutez moi la paix
La paix
La paix
Celle que les enfants chantent
La paix
La paix
Celle que les rêves inventent
La paix
La paix dans ma télé
Au milieu de ces bombes
L'espoir d'une colombe
Si l'on nous montrait un bonheurUn peu plus souvent qu'un malheur
Ca serait beaucoup moins banalOn aurait moins froid au moral
Mais foutez moi la paix
La paix
La paix
Celle que les enfants chantent
La paix
La paix
Celle que les rêves inventent
La paix
La paix dans ma télé
Au milieu de ces bombes
L'espoir d'une colombeInterprète : Florent PAGNY
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Par *Sylvie Ptitsa* le 16 Mars 2016 à 08:55
Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nomSur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nomSur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nomSur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nomSur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nomSur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nomSur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nomSur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nomSur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nomSur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nomSur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nomSur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nomSur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nomSur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nomSur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nomSur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nomSur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nomSur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nomSur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nomSur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nomEt par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommerLiberté.
Paul EUARD
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Par *Sylvie Ptitsa* le 13 Mars 2016 à 18:15
Une chanson écrite et interprétée par Lara Fabian pour sa mère. Si le thème vous touche, vous pouvez relire ce texte inédit qui figurera peut-être dans un de mes prochains livres...
1 commentaire -
Par *Sylvie Ptitsa* le 12 Mars 2016 à 19:34
Je voudrais oublier le temps
Pour un soupir pour un instant
Une parenthèse après la course
Et partir où mon cœur me pousse
Je voudrais retrouver mes traces
Où est ma vie où est ma place
Et garder l'or de mon passé
Au chaud dans mon jardin secret
Je voudrais passer l'océan, croiser le vol d'un goéland
Penser à tout ce que j'ai vu ou bien aller vers l'inconnu
Je voudrais décrocher la lune, je voudrais même sauver la terre
Mais avant tout je voudrais parler à mon père
Parler à mon père...
Je voudrais choisir un bateau
Pas le plus grand ni le plus beau
Je le remplirais des images
Et des parfums de mes voyages
Je voudrais freiner pour m'asseoir
Trouver au creux de ma mémoire
Des voix de ceux qui m'ont appris
Qu'il n'y a pas de rêve interditJe voudrais trouver les couleurs, des tableaux que j'ai dans le cœur
De ce décor aux lignes pures, où je vous vois et me rassure,
Je voudrais décrocher la lune, je voudrais même sauver la terre,
Mais avant tout, je voudrais parler à mon père...
Je voudrais parler à mon père...
Je voudrais oublier le temps
Pour un soupir pour un instant
Une parenthèse après la course
Et partir où mon cœur me pousse
Je voudrais retrouver mes traces
Où est ma vie, où est ma place
Et garder l'or de mon passé
Au chaud dans mon jardin secret
Je voudrais partir avec toi
Je voudrais rêver avec toi
Toujours chercher l'inaccessible
Toujours espérer l'impossible
Je voudrais décrocher la lune,
Et pourquoi pas sauver la terre,
Mais avant tout, je voudrais parler à mon père
Parler à mon père...
Je voudrais parler à mon père
Parler à mon père...Paroles : Jacques VENERUSO
Interprète : Céline DION
2 commentaires -
Par *Sylvie Ptitsa* le 4 Mars 2016 à 17:22
Les paroles en russe prononcées par ce jeune homme au début de la vidéo sont une dédicace à sa mère, qui lui chantait souvent cette chanson dans son enfance. Merci à l'aminaute qui m'a envoyé le lien...
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