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    Pourquoi j'ai choisi de penser positif

     

     

     

    Plusieurs discréditent la pensée positive car elle ne garantit rien. Et effectivement, bien qu’elle nous rende beaucoup plus vibrants et magnétiques au fil du temps, elle ne garantit rien du tout. Mais cela n’a jamais été l’idée !

    On ne choisit pas de cultiver la paix et la gratitude car elles sont des solutions parfaites… On choisit de les cultiver simplement, tout simplement, car elles sont une meilleure solution que la frustration et la négativité.

     

    Marie-Pier CHARRON

     

     


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    L’intellect vous rend de plus en plus compliqués et dilate continuellement votre «je». C’est pour cela que vous êtes avides d’informations, de savoir. La sadhana vous rend de plus en plus simples, innocents. Et la connaissance ultime de soi dégonfle totalement la baudruche de l’ego, elle vous «tue». Les possessions de tous ordres, y compris mentales, ravitaillent votre personnage social, ce qui explique pourquoi ce dernier en réclame toujours davantage.

     


    Les pensées sont aussi des acquisitions particulièrement insidieuses. Elles entretiennent et nourrissent l’ego d’une façon très subtile avec une impunité qui fait leur force. L’arrogante hypocrisie des bien-pensants, comme celle des gens de bien, n’est pas accidentelle, elle est la conséquence naturelle de la pensée («Je pense donc je suis»).


     
    A l’origine, votre esprit n’est pas contaminé. Vous naissez purs. Par la suite, les pensées qui fourmillent dans le monde s’introduisent et s’incrustent dans votre crâne. L’âme ne pense pas, elle est. Les idées l’entourent et si vous vous y attachez, elles forment finalement une sorte de muraille qui engonce votre conscience. L’aveugle peut recevoir de l’extérieur des indications sur la lumière, mais la perception de la lumière, la sensation de voir ne peut venir que de l’intérieur.

     

    Apprendre est acquisition.

    Vivre est énergie.

    L’information est puisée en périphérie.

    L’élan vital surgit du cœur profond.
     
     

    OSHO

     

     

    Lu sur le site "Vivre sans limites" 


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    Imaginez toutes les choses merveilleuses que vos bras pourraient enlacer

    s'ils n'enveloppaient pas si étroitement vos luttes.

     

    Sheila BURKE


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    Vincent VAN GOGH - "Semeur au soleil couchant"

     

     

    J'ai fait la moisson de ce que j'ai appris, de ce que j'ai compris, de ce que j'ai retenu.

    J'en ai fait une gerbe.

    Depuis, je m'efforce de planter des graines de cette gerbe dans toutes sortes de terres,

    en laissant le libre arbitre à ces terres de laisser germer ces graines,

    en leur temps, à leur mesure et de la manière qui leur convient le mieux.

     

     

    Serge REIVER-NAZARE

    "Conversations avec Gaïa et les consciences de la Nature"

     

     


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    Cette réaction devenue mécanique, cette habitude de réduire un vécu à des paroles, étouffe le réel et tue la fusion, la vision sous une avalanche d’interprétations. Le vrai est éliminé, l’éblouissement est refoulé, il ne nous reste que des mots, des débris à la dérive dans notre esprit. Nos pensées ne sont que des phrases et elles ont la vie brève. Pour ne pas être à court, nous transposons immédiatement toute nouvelle expérience en pensées, en mots, tout au long de notre vie. Sous ce déluge de paroles, dans ce vacarme mental, nous perdons conscience de notre propre réalité. Comment renoncer à cette drogue, à cette manie de scléroser la vie à grand renfort de langage ? Il faut maîtriser la genèse des pensées. Soyez attentifs, essayez de comprendre, je vous en prie.

     

    Je vous regarde. Qu’arrivera-t-il si je continue de vous contempler sans rien transposer en paroles ? Cela dépasse ce que vous pouvez imaginer de plus extraordinaire au niveau de conscience qui est le vôtre. La mutation est indescriptible, au plein sens du terme : elle se bloque dès que vous lui attribuez une étiquette, dès que vous essayez de la «penser». Quand je vous regarde sans paroles, donc sans la moindre réflexion sur ce que je suis en train de vivre, je constate qu’une grâce divine ineffable se déverse sur moi et que ce vide immaculé se propage dans toutes les directions. Lorsque la parole cesse de la limiter et de la défigurer, la conscience change de cap et je distingue peu à peu, en plus des hommes et des femmes que vous êtes, la lumière qui est notre source à tous. Comme si je m’éveillais d’un rêve, comme si mon esprit se déployait dans une clarté et une paix infinies.

     

    OSHO

     

    Lu sur le site "Vivre sans limites"

     

     


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    Même si les humains apparaissent souvent prétentieux, vaniteux, en réalité ils se sous-estiment.

    Regardez : ils minimisent les dons et les facultés qu’ils ont reçus du Créateur, ces dons et ces facultés qui font d’eux des êtres supérieurs, et ils accordent la plus grande valeur à tout ce qui leur vient de l’extérieur : les appareils, les machines, les produits, les médicaments…

    Même quand ils suivent un enseignement spirituel, ils ne savent pas trouver la bonne attitude car ils n’ont aucune idée de l’avenir que l’Intelligence cosmique a prévu pour eux. Et quel est cet avenir, demanderez-vous ?…

    C’est de parcourir toutes les régions de l’espace à travers les étoiles et les soleils. Dans ce voyage vous ne pourrez emporter que les richesses que vous aurez amassées au-dedans de vous.


    Rien n’est plus important que d’apprendre sur quoi travailler et à quoi se fier. Tant que vous vous fiez aux conditions extérieures ou aux objets matériels, vous courez au-devant de grandes désillusions, car à un moment ou à un autre les conditions changent, les objets vous échappent… Vous ne pouvez réellement compter que sur l’esprit en vous, qui est pure activité, effort constant. Utilisez tous les moyens extérieurs, si vous les avez, et remerciez le Ciel de vous les avoir donnés, mais ne comptez pas dessus. 

     

    Omraam Mikhaël AÏVANHOV

     


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    Il ne manque rien à celui qui n’aspire pas au savoir. Le savoir est toujours incomplet, il en manque toujours un morceau. Le puzzle grandit à mesure qu’il semble se compléter. Je ne sais pas ce qu’est la vie après la mort du corps, mais j’ai clairement perçu qu’elle était éternelle. Je ne sais pas si Dieu existe, mais j’ai vu que la vie était Intelligence. Je ne sais pas si je suis toujours juste dans mes actions et mes pensées, mais je m’abandonne au flot de la vie.

     

    Je ne sais pas s’il vaut mieux être spirituel mais j’ai vu qu’il était bon d’être vivant. Je ne sais pas s’il y a plus et plus loin mais je sens que je n’ai pas à y aller. L’ambition est réduite à l’impulsion de l’instant. Je ne sais pas ce que sera demain mais je vis ce qui est aujourd’hui. Vraiment, je ne sais rien et cette ignorance est Divine. Je ne peux plus être le réceptacle perpétuel d’informations, je ne peux plus être que l’accueil de la vie. Je ne suis pas un disque dur, je suis un cœur tendre.

     

     

    Thierry VISSAC

     

     


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    (c) Sébastien MONCHAL, "Iceland Colour Tour", Territoire Infini

      

     

    Il ne faut pas se laisser écraser par le sens de l'immense ; il faut s'y baigner, au contraire, avec joie et sérénité. Si l'on était inévitablement enfermé entre les quatre murs de sa conscience personnelle, c'est alors que ce serait triste et écrasant... Mais l'infini nous est ouvert, nous n'avons qu'à nous plonger en lui.

    Jacques CEAUX

     


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    La Traversée du Miroir

     

    (c) "En suivant le lapin blanc", par  Sébastien Monchal, Voyageur d'Infini

     

     

    La traversée du miroir permet cette ouverture essentielle à la reconnaissance de l'importance et de la valeur de ce qui Est. C'est l'expérience de l'humilité car dans cet état de conscience, l'être n'est plus mu par des désirs irréalistes déconnectés des lois universelles. De l'autre côté du miroir, ne persistent aucun fantasme ni démonstration.

     

    De cette connexion intime avec l’Etre se manifestera simplement une voix puissante. Cette voix vous indique la Voie. Elle vous appelle à vous-même. Elle vous rappelle simplement que jamais vous ne cessez d'être. La personnalité humaine semble certes refuser par moment de participer à ce jeu cosmique mais rien n'arrête la Vie. Peu importe vos difficultés et vos tourments, votre quête véritable demeure la même et votre être profond poursuit son Expérience.

     

     

    Virginie

    Pour lire en entier l'article de Virginie, cliquez ici

     


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  •   Paroles de Hêtre

    (c) Ptitsa

     L’homme n’est pas fait pour vivre seul, coupé de la Nature. C’est comme s’il lui manquait une main, il est mutilé, et nous regardons impuissants, ces êtres mutilés, sans pouvoir prendre contact avec eux pour les aider. Alors, eux-mêmes, inconscients de notre existence nous créent des problèmes. Leur mal de vivre nous atteint au plus profond de nous, jusque dans nos racines. Nous sommes le poumon de la Terre par laquelle ils peuvent respirer la vie, mais si l’homme est malade, il nous rend malades à notre tour et la gangrène s’installe partout sur la Planète. Nous dépérissons par manque d’Amour de la part  d’une partie de nous-mêmes.

     

    Prends conscience, homme de la Terre, du rôle qui t’a été dévolu un jour et duquel tu t’es détourné pour ne t’occuper que de toi. Prends conscience que tu n’es pas seul et que si nous n’existons plus, ta vie ne pourra plus exister ici. Nous attendons depuis si longtemps que tu veuilles enfin t’éveiller.

     

    Serge REIVER NAZARE, " De la Terre à Vénus "

     


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