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    La vie est un mystère qu'il faut vivre, et non un problème à résoudre.

     

                                                                                                                            GANDHI

     


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                                                                                                                            Photo : Jackie Fourmiès  

     

     

    Regardez le perce-neige : quelle volonté, quelle force, quel courage il possède pour pouvoir commander à la neige et à la terre : "Allez- écartez-vous, je veux sortir!", et pourtant, il est fragile, il a des pétales si tendres, si délicats, un rien peut le blesser... Mais la terre et la neige lui obéissent, elles lui cèdent le passage et il sort, il fleurit. Quelle est la force qui oblige la terre à s'entr'ouvrir ? Le perce-neige possède une puissance irrésistible dans sa petite tige qui commence à poindre, là, et c'est lui qui triomphe ! (...)  Si vous vous obstinez comme le perce-neige, à la fin vous allez sortir, vous dégager; vous remporterez la victoire.  

     

    Omraam Mikhaël AÏVANHOV

     

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    L'amour est liberté. La liberté ne va pas avec le bonheur. Elle va avec la joie. La joie est comme une échelle de lumière dans notre coeur. Elle mène à bien plus haut que nous, à bien plus haut qu'elle : là où plus rien n'est à saisir, sinon l'insaisissable. Bien sûr, je ne réponds plus vraiment: je chante. Mais va-t-on demander à l'oiseau la raison de son chant ?


     

    Christian BOBIN

    "Eloge du rien"

     

     



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    Efforcez-vous de prendre conscience que vous avez à votre disposition des facultés bien supérieures à l’intellect. L’intellect est seulement un bon instrument de travail pour l’étude et l’exploration de la matière. Mais même dans la vie quotidienne, il n’est pas le meilleur guide, car non seulement il n’a qu’une perception partielle de la réalité, mais surtout, au fond de tout ce qu’il décide d’entreprendre, il y a un mobile caché, un intérêt, un calcul égoïste qui finira toujours par produire des troubles. À peine a-t-il fait un sacrifice, un geste généreux, l’homme qui se laisse conduire par son intellect le regrette ; il trouve qu’il a été bien bête d’écouter les conseils de son cœur ou de son âme.

     

     

    Et comment la fraternité se réalisera entre tous les hommes, comment la terre ne formera plus qu’une seule famille, comment le monde entier vivra dans la paix et l’harmonie, cela non plus l’intellect n’est pas capable de le concevoir. Il ne peut pas s’élever assez haut pour découvrir les vrais remèdes, les vraies solutions. Ce qu’il imagine, ce qu’il propose à partir de sa vision incomplète et égocentrique des choses, est toujours défectueux et ne résoudra rien de façon définitive. Il existe des solutions pour tous les problèmes qui se posent aux humains, mais pour les trouver il faut faire aussi appel au cœur, à l’âme et à l’esprit.


     

     

                                                                                    Omraam Mikhaël AÏVANHOV

     



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    Une Déesse est une femme qui émerge de ses profondeurs. C'est une femme qui a exploré honnêtement son côté sombre et a appris à célébrer sa Lumière.
     

    C'est une femme qui peut tomber amoureuse des magnifiques possibilités qui l'habitent.
     

    C'est une femme qui connaît la Magie et les endroits Sacrés en elle, qui peuvent élever son âme.
     

    C'est une femme qui émet de la Lumière, qui est magnétique, chacun peut sentir sa présence lorsqu'elle est dans une pièce.

    Elle est forte et douce à la fois.

    Elle a une énergie sexuelle puissante et a appris à maitriser son pouvoir de séduction.

    Elle adore son corps, elle est aérienne.

    Elle chérit la beauté, la lumière et l'amour. Elle est une mère pour tous les enfants.

     

    Elle coule avec la Vie dans la grâce facile.

    Elle peut guérir avec un regard ou avec sa main.

    Elle est sensuelle et intrépidement érotique, et s'engage dans le sexe de façon à partager avec une autre Âme le contact du Divin.

    Elle est la compassion et la sagesse.

     

    Elle est le chercheur de Vérité et s'intéresse profondément à quelque chose de plus grand qu'elle.

    C'est une femme qui sait que son but dans la vie est de s'élever avec l'Amour. C'est une femme amoureuse de l'amour.

    Elle sait que la Joie est son destin et qu'en l'embrassant et le partageant avec les autres, les blessures se guérissent.

    C'est une femme qui est venue pour savoir que son partenaire est sensible, perdu et effrayé comme elle l'a été de temps à autre. Elle est venue pour comprendre les cicatrices qu'il a, et sait que l'Amour qu'ils partageront ensemble pourra être le soulagement, la guérison de leurs blessures.

    C'est une femme qui peut s'accepter comme elle est, et accepter les autres comme ils sont. Elle est capable de se pardonner ses erreurs, et ne pas se sentir menacée même quand on l'attaque.

    C'est une femme qui peut demander de l'aide quand elle en a besoin ou aider lorsqu'on le lui demande.

    Elle respecte les frontières, le siennes et celles des autres.

     

    Elle peut voir Dieu dans les yeux des autres. Elle peut voir Dieu en Elle. Elle peut voir Dieu dans chaque situation de la Vie.


     C'est une femme qui prend ses responsabilités pour tout ce qu'elle crée dans sa vie.

    C'est une femme qui est dans le soutien et le don, totalement.


    C'est une Déesse.

     

    Auteur anonyme
    Traduction San Jee

     

     


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     (c) Sylvie PTITSA - Pastel et gouache pour "D'est en ouest", publié avec Clovis Perrin (2011)

     

     

     

     

    Tout ce qui pèse doit s'alléger,
    tout corps devenir danseur,
    tout esprit oiseau.

     

     


    Friedrich Nietzsche

     

     

     


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    articles-2013-2014-9513--Copier-.JPG    (c) Ptitsa
     
     
    Les vrais compagnons, ce sont les arbres, les brins d'herbe, les rayons du soleil, les nuages qui courent dans le ciel crépusculaire ou matinal, la mer, les montagnes. C'est dans tout cela que coule la vie, la vraie vie, et on n'est jamais seule quand on sait la voir et la sentir.
     
                                                                  Alexandra DAVID-NEEL
     
     
     

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    "A l'aube de mon départ, au crépuscule du sentier que j'ai choisi, je puis enfin affirmer en toute paix que notre blessure en ce monde n'est ni dans la richesse, ni dans la pauvreté mais dans notre dépendance à l'un de ces deux états, dans le fait d'imaginer que l'un ou l'autre peuvent nous offrir bonheur et liberté.

    Elle est aussi dans le fait de se persuader que le Très Haut Seigneur a besoin des souffrances des créatures que nous sommes pour leur ouvrir la porte à Sa lumière.

     

     

    Notre blessure est enfin de croire qu'Il a lui-même besoin de Se sacrifier sous la forme de Son fils ou sous  une forme humaine pour nous sauver.

     

     

    Qui nous sauvera, hormis nous-même par la pureté de notre coeur ?

     

     

    En vérité, le doux Seigneur m'a montré qu'il n'y avait pas de rachat à faire ni de sacrifice à perpétuer. En silence, Il m'a enseigné qu'il y avait juste à sortir de l'ignorance, de l'oubli... et à aimer. Aimer la vie sous toutes ses formes et par tous les moyens qui l'embellissent, aimer Son unité en toute chose et en tout être. (...)

     

     

    Mon voeu est qu'il n'y ait plus ni Eglise, ni prêtres, ni moines, ni rien de tout cela... Qu'il n'y ait plus que le Très Haut  et nous car il appartient  à chacun de Le rencontrer en lui-même."

     

     

    François d'Assise dans "François des Oiseaux",

    de Daniel MEUROIS-GIVAUDAN

     

     

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    Je me suis réveillée affamée. Pour n'avoir plus mangé depuis des lustres, j'avais faim de terre, de continents, d'orages, de tumultes. Un appétit dévorant de parfums me tenaillait le ventre - sel sur la peau, résine des grands sapins noirs... herbe en tendresse fauchée au printemps.
    J'avais envie de déployer mon ouïe dans la symphonie du monde, de regarder pour voir vraiment et m'éblouir de lumière, de plonger mes mains dans la terre chaude et la gueule humide des
     loups. Retourner au monde qui roule et qui rugit.

     
    Hélène GRIMAUD
    "Leçons particulières"
     
     

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    articles-2013-2014-4988--Copier-.JPG

     (c) Ptitsa

     

     

     

    Certains regardent la vase au fond de l'étang,
    et d'autres contemplent la fleur de lotus à la surface de l'eau.
    Il s'agit d'un choix.

    Le Dalaï Lama

     

     

     

     


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