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    Bon...

    D'après les photos que je viens de voir chez Gérard, plus de doute possible : le gif que tout le monde avait baptisé "p'tit colibri" sur mon blog et qui avait fini par devenir mon avatar ici s'avère être en réalité... un martin pêcheur !

     

     

    Mais comme je reste fidèle à / adepte de la philosophie des colibris, je laisserai subsister le quiproquo et vous pourrez continuer à m'appeler tendrement... "p'tit colibri"!

    D'ailleurs je vous laisse sur ce joli dessin dont Kasimir m'avait fait cadeau et je publie l'article dans la communauté... "Colibri zen" !

     

     

     

     

    colibri 2 [640x480]

     

     

     

     


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    Je suis comme un bouchon de liège.

    Plus on l'enfonce, plus il remonte à la surface.

     

                                                                

                                                                                             Pascal LEGITIMUS

     

     


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    Sous prétexte que pour se rapprocher de l'esprit il faut se détacher de la matière, certains (...) ne savent pas garder la mesure, au point de ne même plus tenir compte de l'hygiène, de l'esthétique ou du simple bon sens. Comme si l'esprit pouvait se sentir heureux dans la saleté, la laideur et l'insanité !

     

     

    Vous direz : "Mais il existe des ascètes qui ont choisi de vivre dans les pires conditions!".

    Justement, il n'est pas tellement sûr que tous ceux qui se présentent comme des ascètes se soient réellement rapprochés de l'esprit. Rechercher les privations, les épreuves peut n'être qu'une manifestation pathologique. Il y a des gens qui se complaisent dans la souffrance et les mauvais traitements comme d'autres se vautrent dans les plaisirs. Ce n'est pas une preuve de spiritualité.

    Là où l'esprit se manifeste, la vie prend les formes les plus sensées et les plus belles.

     

     

                                                                                     Omraam Mikhaël AÏVANHOV

     

     

     

     


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    Loin des vieux livres de grammaire,
    Écoutez comment un beau soir, 
    Ma mère m'enseigna les mystères 
    Du verbe être et du verbe avoir.

     

      

    Parmi mes meilleurs auxiliaires, 
    Il est deux verbes originaux.
    Avoir et Être étaient deux frères
    Que j'ai connus dès le berceau. 

    

     

    Bien qu'Avoir aurait voulu être
    Être voulait toujours l'avoir. 
    À ne vouloir ni dieu ni maître,
    Le verbe Être s'est fait avoir.

     

     

      

    Son frère Avoir était en banque
    Et faisait un grand numéro,
    Alors qu'Être, toujours en manque. 
    Souffrait beaucoup dans son ego.

     

     

    Pendant qu'Être apprenait à lire 
    Et faisait ses humanités,
    De son côté sans rien lui dire
    Avoir apprenait à compter.    

      

     

    Et il amassait des fortunes
    En avoirs, en liquidités,
    Pendant qu'Être, un peu dans la lune 
    S'était laissé déposséder.


      

     

    Avoir était ostentatoire
    Lorsqu'il se montrait généreux,
    Être en revanche, et c'est notoire, 
    Est bien souvent présomptueux.

          

     

    Avoir voyage en classe Affaires.
    Il met tous ses titres à l'abri.
    Alors qu'Être est plus débonnaire,
    Il ne gardera rien pour lui.

          

     

     

     Sa richesse est tout intérieure, 
    Ce sont les choses de l'esprit. 
    Le verbe Être est tout en pudeur,
    Et sa noblesse est à ce prix.

     

     

    Un jour à force de chimères
    Pour parvenir à un accord,
    Entre verbes ça peut se faire,
    Ils conjuguèrent leurs efforts.

     

     

     

    Et pour ne pas perdre la face
    Au milieu des mots rassemblés, 
    Ils se sont réparti les tâches
    Pour enfin se réconcilier.

     

     

     

    Le verbe Avoir a besoin d'Être
    Parce qu'être, c'est exister. 
    Le verbe Être a besoin d'avoirs
    Pour enrichir ses bons côtés.

     

     

     

    Et de palabres interminables
    En arguties alambiquées,
    Nos deux frères inséparables
    Ont pu être et avoir été.


     

     

    Texte reçu par mail

     

     


    2 commentaires
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    - On remercie un employé quand on n'est pas content de ses services. 
             
    - On passe des nuits blanches quand on a des idées noires. 
     
    - Pourquoi dit-on d'un pauvre malheureux ruiné qu'" il est dans de beaux draps" ? 
         
    - Pourquoi un bruit transpire-t-il avant d'avoir couru ? 
     
    - Quand un homme se meurt, on dit qu'il s'éteint. Quand il est mort, on l'appelle « feu ». 
         
    - Pourquoi lave-t-on une injure et essuie-t-on un affront ?
     
    - Pourquoi parle-t-on des quatre coins de la terre, puisque la terre est ronde ? 
      
    - Comment distinguer le locataire du propriétaire lorsque ces deux personnes  vous disent  :
     « Je viens de louer un appartement ? 
          
    - Comment peut-on faire pour dormir sur les deux oreilles ? 
     
    - Pourquoi, lorsque l'on veut avoir de l'argent devant soi, faut-il en mettre de côté ? 
     
    - Pourquoi dit-on : « embarras de voitures » quand il y a trop de voitures,  et « embarras d'argent » quand il n'y a pas assez d'argent ?  
     

     

    Elle n'est peut-être pas toujours très logique...  et je compatis pour ceux qui doivent l'apprendre, mais je l'aime et je partage cet hommage.

     

    3 commentaires


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