L'homme parle d'animaux "cruels" et "prédateurs",

obéissant aveuglément à leur "instinct de chasseur", à "la loi du plus fort"...

 

 

 

Même si vous ne comprenez pas l'anglais, je crois que les images de ce léopard découvrant le bébé de sa victime parlent d'elles-mêmes.

 

 

 

    
 

 

Puisque vous étiez plusieurs, apparemment, à avoir aimé mon article sur "le jardin bibliothèque", voici en complément "la bibliothèque-jardin" : la photo du panneau qui se trouvait à l'entrée du labyrinthe et sa traduction (non professionnelle, toujours !).

 

 

 

 

 

 

 

  

Tu entres dans le labyrinthe, dans la vie,

mets d'emblée le cap sur le centre

et penses que tu arriveras vite au but.

Mais ton parcours te fait tourner autour du centre

et t'entraîne au coeur des remous, dans le quotidien.

 

 

Finalement, te revoilà à la périphérie,

renvoyé presqu'à l'infini dans les méandres.

Le centre ?

Perdu de vue,

bien que tu gravites sans cesse autour de lui.

Voilà que tu finis par te retrouver

à l'endroit où tu étais entré.

Tous ces efforts étaient-ils vains ?

 

 

Mais non !

Voici que ton chemin

bifurque vers le centre

et te mène droit au but,

au centre de ta vie.

Le chemin vers l'extérieur,

familier et cependant nouveau :

un nouvel angle de vue,

de nouvelles perspectives.

 

 

 

 

 (c) Ptitsa

 

 

 

 

"Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu'il vous faut."

 

 

 

... dit Ciceron.    

Lors de nos vacances en Bavière à l'automne dernier, j'ai découvert avec ravissement un endroit qui réunit les deux : le jardin de l'abbaye de Benediktbeuern.

 

 

 

 

 

 

N'étant pas très réceptive aux charmes de l'architecture baroque à colonnes de marbre torsadées, orgues mastodontes et dorures à outrance, j'ai rapidement délaissé l'édifice pour aller flâner dans les espaces verts qui l'entourent.

 

 

 

 

 

 

Parmi les massifs de fleurs, j'ai trouvé des pierres portant des citations calligraphiées en blanc. La structure en labyrinthe concentrique de cette partie du jardin permet d'y cheminer tout en méditant les paroles lues le long du parcours, de sources très différentes...  

 

 

 

 

 

 

Je vais faire de mon mieux pour vous traduire celles que j'ai en photo :

 

 

 

 

"Les arbres sont les poèmes

que la terre

écrit dans le ciel."

 

Khalil GIBRAN

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 "Lorsqu'à travers un homme

un peu plus d'amour et de bonté

ont existé dans le monde,

alors sa vie

a eu un sens."

 

Alfred DELP

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les fleurs du pré, sur le coteau

sont comme un souffle de Dieu.

Puisses-tu sentir Sa respiration,

afin d'être débordé de couleurs,

de parfums et de joie.

 

Bénédiction irlandaise

 

 

 

 

 

 

"Chaque devenir

dans la nature,

dans l'homme,

dans l'amour,

doit attendre,

se montrer patient,

jusqu'à ce qu'advienne

son heure de fleurir"

 

Dietrich BONHOEFFER

 

 

 

 

 

 

 

 

                                        (c) Ptitsa

 

 

 

 N.B. : C'est dans la bibliothèque de cette abbaye que furent trouvés les manuscrits des "Carmina Burana" qui inspirèrent à Carl ORFF sa célèbre composition du même titre.

Pour en entendre un extrait, cliquez sur la video ci-dessous.

Pour en savoir plus sur l'abbaye, cliquez ici.

Pour en voir d'autres photos, cliquez là.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

     (c) Ptitsa

 

 

Oeuvre présentée dans la galerie d'exposition du groupe "Kosta Boda" (Suède)

 pour lequel travaillent de nombreux maîtres verriers.

 

 

 

En savoir plus sur Kosta Boda

Voir d'autres photos de la galerie 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 (c) Photos : Ptitsa