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Par *Sylvie Ptitsa* dans Graines du pas de la porte (la vie de chez nous) le 25 Décembre 2007 à 16:34
Chers tous,
Noël, pour moi, c'est d'abord et avant tout la fête de l'espérance.
L'espérance du retour de la lumière et de la chaleur
après le passage du solstice d'hiver.
L'espérance de l'enfant que nous avons tous été et qui, quelque part, vit encore en nous, abordant ce jour nouveau avec la confiance qu'il lui apportera
tout ce qu'il souhaite le plus ardemment.
L'espérance dans des jours meilleurs, malgré la version tronquée et pessimiste que nous en donne une actualité obnubilée par tout ce qui va mal dans le monde et qui, souvent, oublie de souligner aussi ce qui s'y fait
de beau, de bien...
Oui, décidément, je trouve que notre monde
manque cruellement d'espérance.
Alors, plutôt que de vous envoyer une carte de voeux ordinaire, j'ai eu envie de vous donner l'adresse de
ce jardinet où chacun d'entre vous, je l'espère,
pourra trouver de quoi fleurir un petit coin
de son cerveau oversoucieux et chasser les cafards
qui auraient la mauvaise idée
de vouloir s'incruster chez lui.
N'hésitez pas à venir vous y promener chaque fois
que vous en éprouverez l'envie ou le besoin,
ni à en communiquer l'adresse à qui vous semblera bon :http://graines-d-esperance.over-blog.com/
Noyeux Joëlzatous !
Selv la lutine
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Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement
J'ai tout appris de toi sur les choses humaines
Et j'ai vu désormais le monde à ta façon
J'ai tout appris de toi comme on boit aux fontaines
Comme on lit dans le ciel les étoiles lointaines
Comme au passant qui chante, on reprend sa chanson
J'ai tout appris de toi jusqu'au sens du frisson
J'ai tout appris de toi pour ce qui me concerne
Qu'il fait jour à midi, qu'un ciel peut être bleu
Que le bonheur n'est pas un quinquet de taverne
Tu m'as pris par la main, dans cet enfer moderne
Où l'homme ne sait plus ce que c'est qu'être deux
Tu m'as pris par la main comme un amant heureux
Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes
N'est-ce pas un sanglot que la déconvenue
Une corde brisée aux doigts du guitariste
Et pourtant je vous dis que le bonheur existe
Ailleurs que dans le rêve, ailleurs que dans les nues
Terre, terre, voici ses rades inconnues
Louis ARAGON, " Le roman inachevé "
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Le Père Noël est vieux,
mais si tous les adultes
comprenaient les enfants
comme lui !...
LARA
Merci à Roger pour la photo...
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