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    Rêver un impossible rêve
    Porter le chagrin des départs
    Brûler d'une possible fièvre
    Partir où personne ne part


    Aimer jusqu'à la déchirure
    Aimer, même trop, même mal,
    Tenter, sans force et sans armure,
    D'atteindre l'inaccessible étoile


    Telle est ma quête,
    Suivre l'étoile
    Peu m'importent mes chances
    Peu m'importe le temps
    Ou ma désespérance
    Et puis lutter toujours
    Sans questions ni repos
    Se damner
    Pour l'or d'un mot d'amour


    Je ne sais si je serai ce héros
    Mais mon cœur serait tranquille
    Et les villes s'éclabousseraient de bleu
    Parce qu'un malheureux
    Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
    Brûle encore, même trop, même mal


    Pour atteindre à s'en écarteler
    Pour atteindre l'inaccessible étoile !






          Jacques BREL,
    "La quête".





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    Dans la vingtaine

    Un accident

    A failli causer ma mort.

     

    Comme je suis heureuse qu’il me soit arrivé si tôt !

    Combien d’instants j’aurais laissés passer

    S’il ne m’avait pas rappelé chaque jour
    Que cette vie qui m’a été accordée

    Peut m’être redemandée demain !...


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  • Nous n'avons jamais perdu l'espoir
    D'une terre plus humaine.

    Nous constatons que les plantes,
    Les rivières, les montagnes,
    Sont toujours là, à la même place,
    Malgré les blessures et la pollution
    Du monde moderne.

    Les désirs de paix,
    D' amour et d'harmonie de l'homme
    N'ont jamais cessé 
    A travers tous les temps
    Comme le soleil se lève toujours
    Sur le même horizon.

             DON  MARCELINO, "La danse du condor amérindien"


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  • Une nouvelle journée s’offre à toi

    Es-tu prêt(e) à la vivre

    Comme la plus palpitante des aventures

    Cœur et sens grands ouverts

    D’avance reconnaissants

    Pour tout ce qui t’attend

    De surprises et de joies ?

     


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  • J’ai beau chercher

    Matière à redire ou me plaindre

    Dans ce dédale alambiqué

    Qu’a été ma vie

     

    Je ne trouve qu’à m’incliner

    Devant l’inégalable sagesse

    Qui a présidé sans faillir

    A tout ce qui m’est advenu.

     


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