• Laisser la place




    L'enfant est un objet d'amour particulier en cela qu'on le met au monde pour qu'il nous quitte, et qu'on doit l'accompagner pour qu'il nous quitte le mieux possible.

    Toute avancée de l'enfant est une séparation. (...)
    Le travail de parent est un travail de dépossession permanente.

                                                           

                                                                        Claude HALMOS,
                                                        psychanalyste et spécialiste de l'enfance.




  • Commentaires

    1
    Samedi 27 Juin 2009 à 08:16
    Je suis venu te faire un petit coucou. Toujours en vacances? J'espère que ça se passe bien. Les miennes approchent à grands pas!
    A bientôt
    2
    Samedi 27 Juin 2009 à 09:10

    A transmettre à beaucoup de parents... pour les aider à être "parents"

    3
    Samedi 27 Juin 2009 à 11:28
    tout à fait d'accord avec la citation; mais oh combien difficile parfois de le lâcher...Savoir que l'on ne fait pas un enfant pour soi, mais pour lui!!!! et le lâcher dans les meilleurs conditions....
    4
    Samedi 27 Juin 2009 à 20:00
    Bonsoir. C'est difficile d'être parent, mais ça offre aussi des joies incomparables. Mes fils se sont envolés : j'en suis heureuse pour eux mais ils me manquent aussi... Bonne soirée
    5
    Mercredi 1er Juillet 2009 à 15:52
    Elles n'approchent plus... elles sont là ! Mais pour me faire le prochain coucou, descends de ton toit, STP, (surtout si c'est encore un jour de pluie !!)... je n'ai pas envie que tu te rompes le coup et que notre amitié finisse de façon aussi sanglante qu'une de tes nouvelles !
    6
    Mercredi 1er Juillet 2009 à 15:55
    Oui, c'est tout un métier d'être parents... Et on n'a souvent pas d'autre école pour l'apprendre que celle de ses propres parents... qui n'ont pas forcément été des maîtres idéaux.
    On aurait bien besoin de conseils et de "sages-femmes" comme celle-là pour nous assister, nous éduquer... nous apprendre l'essentiel.
    7
    Mercredi 1er Juillet 2009 à 16:01
    C'est là que la foi est, une "fois" encore, un filet précieux... Même si on n'est pas un parent idéal (et je suppose que personne ne l'est !), on peut se dire que l'enfant a un Père et une Mère plus compétents que nous ne le sommes et qui prendront soin de lui là où nous ne pourrons ou saurons pas le faire... sans parler de son Ange gardien qui est sans doute le meilleur "aide-maternel" possible !! 
    8
    Jeudi 2 Juillet 2009 à 16:58
    J'imagine que c'est le paradoxe de tout attachement, et la raison pour laquelle l'équilibre à trouver est si subtil, si fragile : être lié, mais sans capturer; être attaché, mais sans retenir...
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