Merci....

Non, il n'est jamais perdu. C'était important pour moi de l'écrire, de le publier et surtout que ce texte soit celui qui inaugurerait l'ouverture du jardin d'espérance, planté le jour de ma fête. Ce credo est toujours le mien. De nombreux événements sont venus le confirmer depuis le moment où j'ai écrit ce texte, dans une harassante traversée des ténèbres . Non seulement nos blessures guérissent, mais elles deviennent fécondes. Rien ne nous arrive en vain. Le plus difficile, c'est de continuer y croire quand on est au plus dur de l'épreuve ...

Bonsoir, Je suis tombé sur ton blog un peu par hasard et, comme toujours, je reprends les billets depuis le début, c'est mon côté méthodique. J'ai bien aimé l'idée de ce premier poème. Il va dans la droite ligne de ton blog: graines d'espérance. C'est vrai que tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir. Encore faut-il faire notre part et s'accrocher. Je reviendrai. Promis. Charly...

Ta "méthodicité" t'honore, Charly... Lire tous les textes d'un blog depuis sa création, - de quelle patience et quelle persévérance cela atteste dans un monde de lecteurs-zappeurs ! Si je le peux, je te rendrai ce hommage. Tu as tout de même de la chance que mon jardin soit encore relativement récent... ;)

Ce premier texte est en effet presque comme une souche, une racine-mère sur laquelle se sont greffés les suivants. Il donne l'esprit et le ton qui (je l'espère) sont restés les miens. A présent, ils se teintent peut-être de davantage d'humour, de gaité, de légèreté. Des photos se sont ajoutées aux textes, quelques vidéos aussi... Mais l'espérance reste mon fer de lance, mon axe fondateur, l'astre sur lequel je m'oriente. A bientôt et merci... 

Salut Ptitsa, je découvre ton blog et viens de le parcourir en diagonale, une diagonale d'un cercle qui me fera tourner autour je pense :-) Ton premier texte (avec ton commentaire) me touche car il émane d'une vraie conviction... communicative. Voilà je dirais juste "c'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière". A bientôt, p'têt même avant!

Tous les parcours sont ouverts dans mon jardin, Olivier : en rond, en diagonale, en zigzag, en long, en large, en travers, à pas lents, à pas comptés, à pas pressés... tout est permis aux visiteurs, sauf  y arracher les fleurs sans permission ou y laisser des déchets ou des déjections. :D
Je me rendrai à mon tour chez toi voir si je trouve un endroit où me poser.
Ce tout premier texte est particulièrement cher à mon coeur, c'est vrai, pour beaucoup de raisons.
Tant mieux si, plus de six mois après, son élan est toujours aussi "communicatif"... c'est qu'il est toujours vivant. :)

Un blog encore récent et déjà un BR de 85, bravo. Demain je ne pourrai pas passer sur les blogs mais vendredi je repasse.

esperance de tout un chacun bises

Je transmets tes applaudissements à tous ceux qui me soutiennent en ce moment, et j'y ajoute les miens... sans leur aide, je serais bien loin de ce score !
Mais comme "l'amour donné n'est jamais perdu"... le leur leur reviendra sûrement, et pour ma part, je ferai tout pour. :)

:)

Ben voilà, j'essaye de rattraper mon retard dans la lecture de ton blog...
Belle idée pour commencer que ce jour là ;o)
Gros bisous, Syl

N'est-ce pas ? Elle me tenait particulièrement à coeur à ce moment-là. Et j'étais encore loin d'imaginer que tu serais la première invitée à l'anniversaire de ce blog... :)