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Par *Sylvie Ptitsa* le 20 Mai 2008 à 00:09
Il y a quelques jours, mon amie Mahina
publiait une nouvelle version de la Marseillaise
écrite par
Greame Allwright et Sylvie Dien .
Personnellement, j'ai toujours détesté ce chant "patriotique",
que je trouve simplement... sanguinaire et dépassé.
J'ai honte, en tant que Française,
qu'il soit encore chanté par les sportifs partout dans le monde
et, pire, enseigné aux enfants
dans les écoles du pays des droits de l'Homme (!).
Patrimoine ou pas, je trouve que ce texte
a bien besoin d'être dépoussiéré.
C'est donc avec grand plaisir que je m'en fais ici l'écho,
à la demande de Mahina
qui pensait qu'il toucherait ainsi davantage de blogueurs.
N'hésitez pas à en copier les paroles et les liens utiles
si vous souhaitez , vous aussi, le faire connaître...
Pour l'écouter en musique,
cliquez ICI
(à la fin de l'article)
Pour signer le projet de modification des paroles
adressé au président de la France par Graeme Allwright,
cliquez ICI
Et pour lire le nouveau texte...
Descendez juste encore de quelques lignes.
Pour tous les enfants de la terre
Chantons amour et liberté.
Contre toutes les haines et les guerres
L'étendard d'espoir est levé
L'étendard de justice et de paix.
Rassemblons nos forces, notre courage
Pour vaincre la misère et la peur.
Que règnent au fond de nos coeurs
L'amitié, la joie et le partage.
La flamme qui nous éclaire,
Traverse les frontières
Partons, partons, amis, solidaires
Marchons vers la lumière.
8 commentaires -
Par *Sylvie Ptitsa* le 16 Mai 2008 à 00:06
You are not alone
I am here with you
Even when you're scared
I'll never leave you
Standing in a storm
Making it insane
Once again,
I will try to unchain you
But you open your eyes to the sky
And whisper
That you are so
Lonely
You are so alone
You are so alone
You are so lonely
Too lonely
And you wish
You could just find home
So I'm colouring my face
While I am here with you
Imagining the landscapes
Of your sorrow
Is it yellow or blue ?
Colouring the sky
And the trees
And the clouds and the moonlight
I'd colour your heart
If you didn't hide it
Yael NAIM
13 commentaires -
Par *Sylvie Ptitsa* le 30 Avril 2008 à 00:00
Puisque des filets nous retiennent
Puisque nos raisons nous enchaînent
Que rien ne brille sous nos remparts
Et puisqu'on n'atteint pas le ciel
A moins de s'y brûler les ailes
Et suivre les routes où l'on s'égare
Comme on dresse un étendard
A corps perdu, ivre et sans fard
Pour n'être plus le pantin d'un espoir
Et si la vie n'est qu'une cause perdue
Mon âme est libre d'y avoir enfin cru
A corps perdu...
Puisque les destins sont les mêmes
Que tous les chemins nous ramènent
A l'aube d'un nouveau départ
On n'apprend rien de nos erreurs
A moins de s'y brûler le coeur
Je suivrai les routes où l'on s'égare
Comme on dresse un étendard
A corps perdu, ivre et sans fard
Pour n'être plus le pantin d'un espoir
Et si la vie n'est qu'une cause perdue
Mon âme est libre d'y avoir enfin cru
A corps perdu
A corps perdu...
A corps perdu, j'écrirai mon histoire
Je ne serai plus le pantin du hasard
Si toutes les vies sont des causes perdues
Les hommes meurent de n'avoir jamais cru
De n'avoir pas vécu ivres et sans fard
Soldats vaincus pour une guerre sans victoire
Et si ma vie n'est qu'une cause perdue
Je partirai libre d'y avoir au moins cru
A corps perdu
A corps perdu...
Gregory LEMARCHAL
Un ami s'en est allé... pour devenir une étoile.
22 commentaires -
Par *Sylvie Ptitsa* le 26 Avril 2008 à 00:52
A la vitesse ou le temps passe,
Le miracle est que rien n’efface l’essentiel.
Francis CABREL, extrait de "La robe et l'échelle".
30 commentaires -
Par *Sylvie Ptitsa* le 25 Avril 2008 à 01:51
Madame Nostalgie
Depuis le temps que tu radotes
Et que tu vas de porte en porte
Répandre ta mélancolie
Madame Nostalgie
Avec tes yeux noyés de brume
Et tes rancœurs et tes rancunes
Et tes douceâtres litanies
Madame Nostalgie
Tu causes, tu causes, tu causes, tu causes
De la fragilité des roses
Je n'entends plus ce que tu dis
Madame Nostalgie
Depuis le temps que tu m'accables
J'ai envie d'envoyer au diable
Ton mal d'amour si mal guéri
Madame Nostalgie
Tu pleures sur un nom de ville
Et tu confonds, pauvre imbécile
L'amour et la géographie
Madame Nostalgie
Tu rêves, tu rêves, tu rêves, tu rêves
Mais tes arbres n'ont plus de sève
Et tes branches n'ont plus de fruits
Madame Nostalgie
Pardonne-moi si j'en ai marre
De tes dentelles grises et noires
Il fait trop triste par ici
Madame Nostalgie
Je veux entendre des orages
Respirer des jardins sauvages
Voir le soleil et la pluie
Madame Nostalgie
Tu pleures, tu pleures, tu pleures, tu pleures
Mais ce soir je n'ai plus le cœur
De partager tes insomnies
Madame j'ai envie
Ce soir d'être infidèle
Dans les bras d'une belle
Qui ressemble à la vie.
Serge REGGIANI
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