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    Parfois vous me laissez des commentaires si beaux que je trouve dommage d'être seule à les lire... Voici un petit florilège de quelques graines de vous que j'ai eu le bonheur de trouver dans mes allées ces derniers mois. Pour lire "Mes-sages (1)", cliquez sur ce titre ci-contre.

      

      

     

      

      

    " Quelques mots peuvent fracturer la barrière du désarroi".

      

                          Midolu

            (qui n'a pas de blog, mais laisse de très jolies choses sur les  nôtres...)

        

     

      

     " Notre vie s'enlise parfois mais, un petit coeur nous aime quelque part et on rebondit. Ça s'appelle vivre."

      

                                                            Snow (son blog : ici)

     

     

     

    " Il en est de l'espoir comme de ces chemins qui naissent du passage répété des
    gens ; avant, il n'y avait rien ;il faut donc avancer. Nous sommes notre propre chemin."

                             Toscalluna (son blog : ici)

     

     

     

    " La présence du coeur est la voie royale à la contemplation."

     

                                                                                       Marceline (son blog : ici)

     

     

     


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                                                                       Le facteur m'a apporté ce chef d'oeuvre recto-verso !

     

      

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    articles-2009-2010 1120 [640x480]      (c) Ptitsa

     

     

    Et qu'y avait-il dedans ? Devinez ?

    La sorcière dont je vous avais parlé ICI !

    Le zoisillon et moi nous sommes régalé les yeux et les oreilles

    (car pour lui, j'ai lu à voix haute, avec le ton et tout et tout !)

    Merci Kasimir, merci eMmA !

     

     

     


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    Au figuré,

    mais aussi au propre !

     

    Pourquoi ?

    Parce que c'est bon pour la santé !

     

    L'explication ?  

    ICI !

     

    Et tant pis pour l'odeur...

     

     

     

    oignon ptitsa redec 

     

    Illustration de Kasimir

     

     

     

    Kasimir  n'a pas fait que s'occuper de mes oignons (pour les illustrer),

    il les a aussi commentés, avec sa compétence médicale en la matière.

    Je vous retransmets, pour plus d'exactitude, 

    les précisions et réserves qu'il a apportées à ce document :

     

     

     

    "J'ai beaucoup de sympathie pour l'oignon, et j'en fais personnellement une consommation immodérée. L'effet de protection existe peut-être, et pourquoi ne pas essayer ?

     
    Mais pourquoi faut-il que de l'exagération, et même des mensonges caractérisés soient ajoutés à cette information ?
    Manifestement le texte est rédigé par quelqu'un qui ne fait pas la différence entre un virus et une bactérie. C'est ennuyeux.
    Mais le pire est ceci : on nous affirme,sans trembler, que le médecin a pris l'oignon, a regardé au microscope, et a trouvé les virus.
    C'est une grosse blague !
     
    Pour voir (arriver à voir) un virus, il faut être un virologue expert, très spécialisé, disposer de matériels extrêmement coûteux, compliqués, et il faut toute une préparation... 
    Cette partie là est fausse à 100 %!
     
    Par contre, mets des oignons dans ta chambre l'an prochain : c'est une chose à faire (parmi d'autres). "
     

     

     


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  • articles-2009-2010-7943--640x480-.JPG

       (c) Ptitsa

     

          

     

    Il voulut peindre une rivière
    Elle coula hors du tableau

     

    Il peignit une pie grièche
    Elle s'envola aussitôt

     

    Il dessina une dorade
    D'un bond, elle brisa le cadre

     

    Il peignit ensuite une étoile
    Elle mit le feu à la toile

     

    Alors, il peignit une porte
    Au milieu même du tableau

     

    Elle s'ouvrit sur d'autres portes
    Et il entra dans le château

     

        

     Maurice CARÊME  

     

       

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    Pour Jackie F. et Dominique D., sur un poème glané chez Phil.  ;-)

     


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                    Un nouveau merci à  
    L17 pour cette nouvelle graine reçue d'elle !




    Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup,
    Il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne.
    Il ne dure qu'un instant, mais son souvenir est parfois éternel.

    Personne n'est assez riche pour s'en passer ;
    Personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter.
    Il est le signe sensible de l'amitié.
    Un sourire donne du repos à l'être fatigué,
    Donne du courage au plus découragé ;

    Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler,
    Car c'est une chose qui n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne.

    Et si toutefois, vous rencontrez quelqu'un qui ne sait plus sourire,
    Soyez généreux : donnez-lui le vôtre ;
    Car nul n'a autant besoin d'un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres.



                                                                 Raoul FOLLEREAU




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