•           La vie n'est pas d'échapper à la tempête mais de danser dans la pluie.




    C'était la dernière phrase d'un article publié par Nadia-vraie et que j'avais beaucoup aimé. Cliquez ici  pour le lire en entier et pour visiter son beau blog.

    Et si, en plus de danser, vous voulez aussi rire sous la pluie, je vous renvoie à cet autre article , toujours chez elle, que j'avais touvé aussi juste que drôle. 
    Bonne visite...




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    Vivre, c’est être pris à l’intérieur d’un conte de fées.


                                                                                    Christian BOBIN



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                                                      Pour l'Oiseau Netique Epiglotaire
                                                  d'un pays douceur feu ambre épices ...




    Un oiseau s'envole,
    II rejette les nues comme un voile inutile,
    II n'a jamais craint la lumière,
    Enfermé dans son vol
    II n'a jamais eu d'ombre.


    Coquilles des moissons brisées par le soleil.
    Toutes les feuilles dans les bois disent oui,
    Elles ne savent dire que oui,
    Toute question, toute réponse
    Et la rosée coule au fond de ce oui.


    Un homme aux yeux légers décrit le ciel d'amour.
    Il en rassemble les merveilles
    Comme des feuilles dans un bois,
    Comme des oiseaux dans leurs ailes
    Et des hommes dans le sommeil.


    Paul ELUARD



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  • Rien qu'un petit bonheur, Suzette,
    Un petit bonheur qui se tait.
    Le bleu du ciel est de la fête ;
    Rien qu'un petit bonheur secret.


    Il monte ! C'est une alouette
    Et puis voilà qu'il disparaît ;
    Le bleu du ciel est de la fête,
    Il chante, il monte, il disparaît.


    Mais si tu l'écoutes, Suzette,
    Si dans tes paumes tu le prends
    Comme un oiseau tombé des crêtes,
    Petit bonheur deviendra grand.




    Geo NORGE 



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  • Jour de rentrée scolaire pour les uns.
    De reprise du travail pour les autres. 
    Un lundi, en plus !
    Loi des séries, sans doute...



    Grisaille.
    Début d'automne.
    Jours qui raccourcissent.
    Matins frisquets (déjà que l'été n'a pas été chaud !).
    Feuilles kamikazes, frappées de spleen,
    qui se suicident collectivement en se jetant du haut d'un arbre...
    Matières en décomposition, obsédante pourriture...
    Charniers de bas-côtés...



    Bref...
    Rien que des raisons de céder à la morosité ambiante
    et d'afficher, ce matin, votre plus sinistre tête de grompf.



    Pour ne rien arranger... la petite famille des colibris migrateurs
    s'apprête à descendre vers le sud d'ici 8 jours ,
    laissant son jardin à l'abandon pendant des jours et des lunes,
    sans l'ombre de la plus petite graine pour réconforter en son absence
    les malheureux visiteurs sédentarisés
    sous des latitudes hostiles
    par un emploi imbécile.



    Totale déprime.




    MAIS...




    il reste tout de même une bonne nouvelle
    dans la débâcle de ce monde déliquescent.



    Un espace d'irréductible optimisme subsiste encore
    en plein territoire mégacafardisé.



    Alors, si vous voulez échapper à l'emprise de l'empire romanisé,
    euh... démoralisé,
    il vous reste une unique chance d'échapper au naufrage.



    CLIQUEZ sur la bouée ci-dessous
     et vous saurez pourquoi tout n'est pas perdu,
    pourquoi il reste 100 milligrammes d'espoir
    dans un monde plus noir et plus amer
    qu'une tablette de cacao à 95%.







    Sinon...
    rendez-vous, tête-de-grompfisé à bloc,
     dans l'enfer des bas-fonds.



    Mais ne venez pas dire qu'on ne vous a pas tendu la perche,
    enfin, la bouée, avant de sauter...




    A bientôt aux uns, adieu aux autres...
    Moi, j'ai choisi mon camp.



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