• Fraterniser

     

     

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    Les plantes sont sensibles. Des expériences ont montré qu'elles sont capables de réagir à la présence humaine. Par exemple, si quelqu'un qui les a maltraitées entre dans la pièce où elles se trouvent, elles montrent par certains signes qu'elles ont peur. C'est donc que, comme les animaux, elles ont aussi une forme de mémoire.

     

    Les plantes sont sensibles, et même les pierres, à leur façon, le sont également.

    Si vous les aimez, si vous les touchez avec amour, elles peuvent communiquer avec vous et vous transmettre des messages. Car l'amour est la langage universel que toute la création, toutes les créatures peuvent comprendre. Touchez une pierre avec amour, elle vibre déjà autrement, elle peut même répondre avec amour.

     

    Seulement, pour le constater, il faut avoir appris à déchiffrer son langage. Mais y a-t-il beaucoup de candidats pour étudier le langage des pierres, des plantes, des animaux ? Les humains sont capables d'apprendre toutes les langues du monde pour communiquer avec leurs semblables, et c'est très bien. Mais il est également important pour eux de connaître aussi le langage de la nature vivante afin d'entrer en relation avec elle.

     

     

    (...) Quand vous ouvrez votre fenêtre ou votre porte, le matin, habituez-vous à donner un salut au ciel, au soleil, aux arbres… Dites bonjour à toute la création. Vous demanderez : « Mais c’est utile ? Ça sert à quelque chose ? » Oui, ça sert à commencer la journée par un acte essentiel : vous vous liez aux sources de la vie. 

     

     

                                               

                                                                               Omraam Mikhaël AÏVANHOV

     

     

     


  • Commentaires

    1
    Samedi 29 Septembre 2012 à 07:02

    Ouais, bon, je ne tiens pas à ce qu'on m'emmène en hôpital psychiatrique! 

    Bon weekend. 

    2
    Samedi 29 Septembre 2012 à 17:32

    Par  bonheur, nous vivons à une époque et dans un endroit suffisamment ouverts pour ne pas enfermer ceux qui pensent et vivent ainsi, je peux en témoigner... ou alors, c'est que les petits messieurs en blouse blanche n'ont pas encore été informés de mes activités, dans ce cas je t'autorise à me dénoncer.

    Les asiles ont souvent été des endroits où on se débarrassait d'êtres trop différents et dérangeants ; c'était rassurant et en plus, on avait bonne conscience... en d'autres temps, on préférait les brûler, c'était plus sécurisant encore. Je reste persuadée que tous les fous ne sont pas dangereux et que nous aurions beaucoup à apprendre de leur "anormalité", si seulement nous en avions moins peur... sans compter que cela leur ferait sans doute plus de bien que de les abrutir de médicaments.

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