Feu, eau, séisme, nous ne sommes à l'abri de rien. Tout peut s'écrouler du jour au lendemain. Les rêves envolés, les biens acquis à la sueur du front détruits, ...
La vie nous réserve parfois de mauvaises surpirses mais il y a des limites au malheur !
Dans ce cas, il faut se dire que seule la vie compte mais ce doit être bien difficile.
Bon courage donc à ton amie. Je passerai chez elle quand je trouverai quelques minutes.

J'y cours...
 Les mots ne remplacent pas ce que le feu a mangé mais ils réconfortent...

Tu as bien fait de nous indiquer ce lien.
Merci.
Bon diMAnche,
eMmA

Bonjour,
Charmant message de soutien à Christina...
Je suis allé voir les photos : ouahhh, plus rien !
Terrible pour une Artiste... Courage à elle...
Et merci à toi. Bon dimanche. Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

NB : Défi n° 21 de la Ruche en ligne... si tu aimes les fragrances...

Je suis bien triste pour ton amie !  Nous ne sommes jamais à l'abri de rien....heureusement que ça ne s'est limité qu'à l'atelier, même si je comprends combien ce doit être dur ! Non seulement de la valeur matérielle mais surtout de la valeur sentimentale ! Disons que dans son malheur, heureusement que la maison mais surtout les vies soient épargnées !
Merci à toi de nous en faire part, merci aussi de les aider comme tu peux, je te reconnais bien là !
Gros bisous, tu es une amie super !

J'ai vu que tu y étais allé malgré ton emploi du temps chargé. Merci !

Et un simple geste réchauffe parfois plus qu'un feu... avec moins de dangers.

Merci d'y être allée ! Pour moi, Christina est vraiment l'exemple de l'artiste qui ne vit que par et pour son art (j'imagine donc d'autant mieux combien le choc a dû être violent pour elle). Et en plus, je trouve ce qu'elle fait magnifique...

Mmmmm... Pas trop inspirée pour l'instant, mais si qq chose vient, je te l'envoie !

Je crois que pour elle, c'est justement la perte de l'atelier qui est la pire, pas celle d'une partie de la maison... J'ai essayé de lui dire que ce serait peut-être l'occasion d'en recréer un neuf, mieux adapté à ce qu'elle veut faire, détaché du passé, tourné vers l'avenir... Pour l'instant elle se débat avec les tracas de l'assurance et la paperasse, c'est le plus ingrat, il faut déblayer, au propre et au figuré. Mais c'est comme ça qu'elle jettera de bonnes bases pour la phase de "reconstruction" et elle va se relever de l'épreuve, j'en suis sûre !

Merci d'être allée déposer ton petit mot chez elle, je te reconnais bien là... Toi aussi t'es une super amie !

cet articl est émùouvant car moi aussi j'ai mes euvres chez moi et si le feu les mange je les perdds car même des photos ne les remplaceront jamaix !

Tu as parfaitement compris... un livre, tu peux le racheter; mais une peinture ou une céramique ?...

j'ai bcp de mal à passer un message sur ton site, j'espère que mon com précédent est bien passé :-)

je ne la connais pas mais c,est triste ce qui lui a arrivé.

J'espère qu'elle sera courageuse pour recommencer.

je vais aller lui dire un petit mot.

À bientôt.

Ben non ! Pas d'autre commentaire de toi à l'arrivée ! A mon plus grand regret car c'est toujours un bonheur de te lire.  Je ne sais pas d'où vient le pb, a priori tu es le seul à avoir cette difficulté, les autres blogueurs n'ont rien signalé.

A part ça, message bien reçu : à partir de cette année, je ne t'appelle plus P.R. mais R.V. ("Rayon vénérable" ou "Rayon vénéré", comme tu préfères !). Pis avec ton dos hs tu vas pouvoir te poser pour une fois... et nous faire plein de jolis posts.

En aurais-tu "plein le dos" de qqc, par hasard ?... Bizatoi, merci d'être repassé par le jardin.

Elle a fait une pétition que j'ai trouvée à mon retour de vacances, mais je n'ai pas encore lu en détail ce qu'elle y disait... dans l'ensemble je crois que ça allait tout de même mieux. Heureusement ! Merci d'être passée lui laisser un mot, je reconnais bien là ta générosité habituelle...

"Quelques mots peuvent fracturer la barrière du désarroi"...

Cette phrase est si jolie que, si tu veux bien, j'aimerais en faire une future graine de mon jardin. Nos mots sont peu de choses, il est vrai, devant l'ampleur de son désastre, mais je sais par ses mails  qu'ils lui sont tous précieux et d'un grand réconfort. L'aide matérielle, tôt ou tard, elle l'obtiendra. La chaleur humaine, c'est maintenant qu'elle en a besoin, et de la bonne, - qui soit solide, de longue durée, pas une compassion événementielle et volatile... Merci d'avoir contribué à lui en diffuser un peu de celle-là...

Ton jardin, amie, est des plus attirants

j'y passe, en m'y promenant, ma foi,  un bon moment...

Je m'y perds bien un peu, mais il y a tant de fleurs

que c'en est un bonheur.

Je viens de passer un long moment chez ton amie.

Parle-nous encore d'elle cahque fois que tu voudras.

Assure là de notre amité.

bonjour, je ne sais plus comment je suis arrivée ici...je suis allée rendre visite à Christina...et je suis revenue me  promener ici. C'est beau...Je reviendrai.  Bonne journée.

Se perdre parmi les fleurs, quelle plus douce errance ?

S'étourdir de couleurs, de fragrances... s'oublier dans un coeur à coeurs !

 

J'avais donné de ses nouvelles peu après ton passage. Comme tu es abonné à la newsletter, tu as dû voir l'article ?

Merci pour l'amitié que tu lui témoignes.

Bonjour Mamychris, à bientôt alors ! Merci pour ce commentaire et pour le passsage par chez Christina !

Chère Midolu, je retrouve ces mots de toi en attente de réponse dans ma boîte à commentaires. Et tu as raison, j'en ai fait l'expérience pas plus tard qu'aujourd'hui, où des mots amicaux sont venus fracturer la barrière du désarroi... pour moi. Les tiens s'engouffrent dans la foulée comme un second cadeau de cette journée éprouvante. Je n'ai pas oublié ma promesse. Mes semis sont prêts pour ce mois d'août, car je vais m'absenter bientôt du jardin, mais ta phrase mûrit doucement dans ma serre, et tôt ou tard, tu la retrouveras, ici, oui. Merci !

Merci à toi d'avoir relayé l'information. Cela m'a permis de laisser un message de soutien à Christina.

Je sais bien que c'est un tout petit réconfort, mais elle en a besoin, et rien que d'imaginer ce qu'elle vit je me rends compte que quelques mots peuvent fracturer la barrière du désarroi ...

Affectueusement à toi

Ptitsa, plus le temps passe, et moins les bonnes âmes se pressent pour entourer et aider les victimes ... L'oubli fait son oeuvre, trop souvent, leur infligeant une deuxième perte, un second abandon.

L'état dépressif se manifeste souvent a posteriori et il faudrait un accompagnement au long cours.

Les mots que j'ai écrits me paraissent durs, c'était mon ressenti, à la mesure de la souffrance de Christina.

Bien sûr, Ptitsa, tu peux les utiliser, afin qu'ils germent et entretiennent l'espoir et la solidarité. Je suis certaine que tu es bonne jardinière.

A bientôt, et merci.