• Avec panache







                                                                                             (c) Ptitsa





    Mourir
    Donner sa vie
    Brûler
    Se consumer
    Faire son oeuvre
    Accomplir
    Ce pour quoi
    L'on est fait
    Simplement
    Disparaître





  • Commentaires

    1
    Jeudi 22 Janvier 2009 à 00:21

    bonjour.. il est tôt..
    belle pensée philo du matin..
    bonne journée.. elle va être longue..
    bisous
    clem

    2
    Jeudi 22 Janvier 2009 à 08:43
    Souviens-toi de ta promesse à accomplir sur le trottoir gris... en t'aidant des couleurs de ce matin, au besoin. ;)
    3
    Jeudi 22 Janvier 2009 à 09:22

    J'aime...j'aime la citation et aussi la photo
    Un presque-vide ...

    ps : si tu aimes Rodin, tu vas être gâtée chez moi pendant quelques temps
    J'ai adoré ma visite au musée et je vais publié bon nombre de photos de ses oeuvres dans les jours qui suivent

    4
    Jeudi 22 Janvier 2009 à 10:58
    un ti coucou pour te montrer que je ne t oublie pas. J espère que tout va bien pour toi car ca fait un moment que je ne te vois plus...snif
    poutouxxx
    5
    Jeudi 22 Janvier 2009 à 11:23
    Pas gai comme poème mais réaliste...
    Bonne Journée mon petit colibri
    Bisoux, Lolo
    6
    Jeudi 22 Janvier 2009 à 11:28
    Pas gai ? Je ne trouve pas ce poème triste, pour ma part. Serein et détaché, peut être... ;)
    7
    Jeudi 22 Janvier 2009 à 21:31
    Bonne soirée !

    à bientôt! bises.
    8
    Vendredi 23 Janvier 2009 à 01:24
    Un bien joli billet... Avec panache faire tout cela, oh que oui. Vivre nos quelques années avec passion avant de disparaitre comme tout à chacun plutôt que de laisser la vie passer juste en la regardant... voilà quelques mots qui me vont bien.
    Gros bisous ma belle et douce fin de semaine... Moi je file deux jours.
    Syl
    9
    Vendredi 23 Janvier 2009 à 06:19
    Très belle photo Ptitsa,mais je ne veux pas disparaître...pas tout de suite.
    Il y a une surprise pour toi quand tu viendras me voir
    Amicalement.
    10
    Samedi 24 Janvier 2009 à 10:24
    Moi aussi, j'aime cette photo par son côté épuré... elle fait partie de cette série de ciels purs, lumineux, qu'il y a eu au début de l'année et dont je te parlais il y a peu. Une sobriété qui allait bien avec la saison, avec ce mois de janvier tout en retenue, en solitude, en silence. Un "presque-vide", oui, une élimination naturelle des "trop pleins"... :)
    11
    Samedi 24 Janvier 2009 à 10:26
    Je ne suis pas beaucoup sur la toile en ce moment, je fais juste le minimum pour tenir mes blogs à jour... mais ne t'en fais pas, tout va bien, oui. Merci des tes passages !
    12
    Samedi 24 Janvier 2009 à 10:27
    Moi aussi, je passe te feuilleter bientôt... j'ai pris beaucoup de retard dans ma lecture pâtissière. ;)
    13
    Samedi 24 Janvier 2009 à 10:41
    Avec passion ? Oui, mais sans emportement, sans excès alors...
    Je pensais à la tirade de la mort de Cyrano, chez Rostand, où il dit que ce qu'il emportera dans l'autre monde, c'est "son panache". On peut mourir (ou vivre) avec panache, de façon héroïque, mais ce qui m'est venu en écrivant ce texte, c'est qu'il y a aussi "un panache" qui consiste à vivre simplement, sans rien accomplir forcément de grandiose, mais en essayant juste d'être conscient(e) de chaque instant, d'être à sa place, d'accomplir au mieux sa tâche en ce monde, même si elle est humble et qu'elle ne laisse pas de trace. Et puis, l'heure venue, tirer sa révérence, riche d'avoir donné le meilleur de soi, même si on n'a été qu'à l'arrière plan du spectacle, mais néanmoins certain que ce petit rôle était indispensable à son harmonie et que nous étions seul(e) à pouvoir tenir ce rôle-là...

    C'est en ce sens que je répondais à Laurent que pour moi, il ne s'agit pas d'un texte triste, mais "détaché". 
    Il faut du courage pour occuper l'avant-scène du monde et supporter la lumière sans concession des feux de la rampe, mais il en faut peut-être autant pour se tenir à l'arrière, pour tout donner en sachant qu'on n'obtiendra aucun applaudissement, aucune reconnaissance, qu'on ne laissera pas de trace à la postérité et que pourtant, notre oeuvre est, a été aussi essentielle à l'équilibre de ce monde que celle dont l'Histoire gardera la mémoire...
    14
    Samedi 24 Janvier 2009 à 10:44
    Merci pour la surprise, Nadia.
    Rassure-toi, je ne tiens pas forcément à disparaître tout de suite non plus. ;)
    Et puis "disparaître", ce n'est pas forcément "mourir", c'est aussi savoir se fondre dans un tout pour qu'il reste harmonieux, pour qu'aucun de ses éléments ne prévale sur les autres et ne déséquilibre l'ensemble... :)
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