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A bicyclette
La vie, c'est comme une bicyclette: il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
Albert EINSTEIN
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Commentaires
1Flo-Avril2Jeudi 31 Janvier 2008 à 15:02Soigne toi bien petit colibri et reviens en forme Bisous, FloRépondreMerci Flo... Je fais au mieux. Grâce à toi, de toute façon, même malade je continue à voir la vie en rose !!Merci pour ton com,ton lien sur le com est mauvais tu as oublié "over-blog" bonne soirée !Merci Fancri, je viens de rectifier. Ceux qui veulent me trouver me trouveront, de toute façon... Je leur fais confiance.Il faut toujours avancer et surtout ne pas revenir par le même chemin. Bonne soirée. MarieJ'ai oublié, je demeure en Normandie, les mimosas sont dans ma région. MarieSauf si ce chemin était joli...; ) Et puis, le faire en sens inverse donne parfois un autre aperçu des choses. On en découvre qu'on n'avait pas vues à l'aller...Des mimosas en Normandie ? Eh bien, ça me donne encore plus envie d'y aller !Je t'envoie virtuellement une brassée de mimosas en fleurs de mon jardin pour que tu guérisses vite ! En prime, un bon grog au rhum... Poséïdon ou Neptune, c'est du pareil au même ;) Gros bisousPour le chant Dubia, selon notre prof, c'est du yaourt : ce ne sont que des syllabes en gros. Pour Ikéa, oui, c'est la sortie 33 près d'Arlon :) Bonne soirée ;)Du yaourt ? Sans le vouloir, je n'étais pas si loin alors: je penchais pour du bulgare !!! ;)Comme c'est gentil Siratus! Je vais essayer illico la tisane au mimosa. Je suis sûre qu'elle a le meilleur effet sur les colibris alités ! Et pis si ça ne suffit pas, promis, je passe au rhum...Re bonsoir sur mon com dans ton administration tu as mon mail et je t'ai envoyé un mail si c'était la bonne adresse lol à bientôt.Quand on partait de bon matin Quand on partait sur les chemins A bicyclette Nous étions quelques bons copains Y avait Fernand y avait Firmin Y avait Francis et Sébastien Et puis Paulette On était tous amoureux d'elle On se sentait pousser des ailes A bicyclette Sur les petits chemins de terre On a souvent vécu l'enfer Pour ne pas mettre pied à terre Devant Paulette Faut dire qu'elle y mettait du cœur C'était la fille du facteur A bicyclette Et depuis qu'elle avait huit ans Elle avait fait en le suivant Tous les chemins environnants A bicyclette Quand on approchait la rivière On déposait dans les fougères Nos bicyclettes Puis on se roulait dans les champs Faisant naître un bouquet changeant De sauterelles, de papillons Et de rainettes Quand le soleil à l'horizon Profilait sur tous les buissons Nos silhouettes On revenait fourbus contents Le cœur un peu vague pourtant De n'être pas seul un instant Avec Paulette Prendre furtivement sa main Oublier un peu les copains La bicyclette On se disait c'est pour demain J'oserai, j'oserai demain Quand on ira sur les chemins A bicyclette bon rétablissement colibrissoigne toi bien, tisane de thym, de romarin,un peu de miel, une bouillotte, et beaucoup de repos! et des bisous aussi , à bientôtSoigne toi bien, Colibri... prends ton temps.Bonjour ptitsa,je suis contente de ton passage sur mon blog car ça me permet de te connaître. Je trouve la présentation de ton blog très belle avec de beaux mots. je te souhaite la bienvenue sur mon blog et ton commentaire m'a touché et par ton écrit tu as bon coeur,c'est rare dans ce milieu que je connais que quelqu'un va s'avancer pour faire ce qui est parfois répugnant. Bonne journée et A+Re-bonjour,tu m'as déjà croisée sur un forum??? Mais est-ce que tu me connais? Byebye et tu viendras me le dire.byebyeOui, j'ai bien reçu l'e-mail par les 2 chemins Fancri, merci. Je farfouille dans mes photos de Prague dès que je trouve un moment et je t'envoie ça...
J'avais la chanson en tête au moment où j'ai choisi ce titre pour mon article du jour. Tu étais sur la même longueur d'iondes, Syboule !Et pis un tour dans ton jardin du Sud Ouest pour me gorger de soleil et pas seulement de rhum !!!... On en a besoin, en ce moment, par ici ! (de soleil ! pas de rhum, hein !)
Tu sais Quichottine, depuis un an je suis entrée dans un espace où le temps est une réalité devenue très fluctuante... Tu as raison. Laissons le temps au temps !Je viens de passer chez toi pour te répondre, Nadia-vraie. ;)Bien sûr, en gardant bien les deux pieds par terre... et l'envie de repartir plus loin !
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