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    Chacun de nous a un rêve à vivre et celui-ci est la clé de sortie de ce monde duel

    où nous nous sommes aventurés un jour lointain dans le temps…

     

                                                                             

                                                                                 Christian DUVAL

                                                                              "La gazette de Wydyr"


     

     



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    Arbres de ces grands bois qui frissonnez toujours,

    Je vous aime, et vous, lierre au seuil des antres sourds,

    Ravins où l'on entend filtrer les sources vives,

    Buissons que les oiseaux pillent, joyeux convives

    Quand je suis parmi vous, arbres de ces grands bois,

    Dans tout ce qui m'entoure et me cache à la fois,

    Dans votre solitude où je rentre en moi-même,

    Je sens quelqu'un de grand qui m'écoute et qui m'aime !

     

     

    Victor HUGO

     

     


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    "La peau est un désert, la caresse son oasis."

     


     

    Extrait du très beau livre de textes et photos

    édité par l'association Tchendukua au profit des Indiens Kogis :

    "Rien n'est éternel sauf les étincelles"

     

     


     

     



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    Si la majorité a raison, si cette musique dans les cafés, ces divertissements de masse, ces êtres américanisés aux désirs tellement vite assouvis représentent le bien, alors, je suis dans l'erreur, je suis fou, je suis vraiment un loup des steppes, comme je me suis souvent surnommé moi-même ; un animal égaré dans un monde qui lui est étranger et incompréhensible.

                                                        Hermann HESSE, "Le Loup des Steppes"

     

     

     



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    Laisse-moi pénétrer ton jardin, tel un rayon de lune. Il éclairera tout sans rien bousculer. Il effleurera les êtres qui y vivent, ayant souci cependant de laisser les échos, les parfums et les mouvements poursuivre leur élan, tout de fraîcheur innocente. Femme qui as été bafouée par des désirs corrompus, qui as cherché à t'élever vers la confiante transparence et la légèreté aérienne. Je comprends ta nostalgie. Tu es allée bien loin. Peut-être trop loin pour moi. Mais crois-moi, je saurai te suivre. J'aurai toute la patience exigée. L'éternité n'est pas de trop pour que je te rejoigne. Pas à pas, je te rattraperai.

                       
                       François CHENG, "L'éternité n'est pas de trop".

     

     

    Lu sur la page de "L'échappée Belle". Cliquez sur le lien pour la visiter.


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