A l'heure où l'actualité nous pilonne avec les nationalismes de tout bord et les guerres de religion, il y a encore des endroits où les différentes cultures non seulement coexistent, mais se rassemblent pour célébrer la vie.

 

 

A l'heure où tant de manifestations artistiques ne sont que nihilisme déçu ou expression démesurée d'egos malades de reconnaissance, il y a encore des endroits où chacun, auteur, poète, danseur, musicien, peut monter sur scène et offrir son travail en toute humilité, certain d'être applaudi avec la même chaleur qu'il soit professionnel ou amateur.

 

 

A l'heure où "faire la fête" rime si souvent avec ébriété, bombance, gâchis, torture animale et conversations creuses, il y a encore des endroits où l'on se réjouit autour de spécialités simples venues des 4 coins du monde, préparées par des communautés heureuses de partager leur savoir-faire.

 

 

A l'heure de cloisonnement des genres et des générations, il y a encore des endroits où les barrières tombent, où la différence est une vraie richesse, où les préjugés reculent et où l'autre peut exister pleinement... en tant qu'Autre.

 

 

L'un de ces endroits hors du temps, c'était hier soir à la Soirée Millefeuilles.

La soirée était consacrée à l'espoir.

 

 

Elle ne pouvait pas m'en donner de meilleurs.

 

 

MERCI.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Etant donné le thème de la soirée, je ne pouvais pas ne pas y participer...

J'y serai vendredi soir pour lire un de mes textes (inédit) en musique

et écouter ceux des autres.

 

 

 

 

 

 

"Youpiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !... Je suis à l'école des grands, je vais plus à l'école des bébés !"

 

Je possède maintenant le kit complet du petit écolier de primaire :

 

 

 

 

 

le sourire à courants d'air

 

 

 

 

 

le gros sac plein de zaffaires

 

 

 

 

 

 

le plein de devoirs z'à faire

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

(une nouvelle vie commence aussi pour maman, hé hé hé hé...!!)

 

 

 

   

 

 

et surtout ... la parfaite maîtrise de  LéKriTurFoNétic !

 

 

 (c) Ptitsa

 

 

 

 

"Dans le mot "surdoué(e)", il y a deux syllabes, et toutes deux sont idiotes".

Ce n'est pas moi qui le dis, c'est Albert Jacquard.

Ecoutez-le parler de la façon dont développer (ou faire régresser ) notre intelligence.

5 minutes trente d'intelligence profonde, si pleine d'humanité.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rendre service de tout son pouvoir, de toutes ses forces,

il n'est pas de plus noble tâche sur la Terre.

 

 

SOPHOCLE