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    articles-2012-2013-8746--Copier-.JPG                                                                                            (c) Ptitsa 

     

       

    La vérité ne grimace jamais, ne juge pas, et ne fronce jamais les sourcils. Elle sourit. Elle rit. Elle fait de petits clins d’œil coquins, aussi. Mais surtout, elle aime, elle inspire et elle remplit.

     

                                                 

                                                            Marie-Pier CHARRON

     

         

     

      

     Marie-Pier CHARRON est l'auteur de "Matin magique". Une lecture gratuite qui ensoleille mon quotidien et que vous pouvez vous aussi recevoir en cliquant ICI.

     

     


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    J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables,
    j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables,
    et oublié des personnes inoubliables.
    J'ai agi par impulsion,
    j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables,
    mais j'ai déçu des gens aussi.
       
       
    J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger,
    J'ai ri quand il ne fallait pas,
    Je me suis fait des amis éternels.
    J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé,
    J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer.

       
    J'ai crié et sauté de tant de joies,
    j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles,
    mais je me suis brisé le coeur, tant de fois !

       
    J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos,
    J'ai téléphoné juste pour entendre une voix,
    je suis déjà tombé amoureux d'un sourire.

       
    J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et...
    J'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre)...
    Mais j'ai survécu !

       
    Et je vis encore ! Et la vie, je ne m’en passe pas ...
    Et toi non plus tu ne devrais pas t’en passer. Vis !!!

       
    Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion,
    embrasser la vie et vivre avec passion,
    perdre avec classe et vaincre en osant,
    parce que le monde appartient à celui qui ose.

     

     

     

    Et la vie, c'est beaucoup trop pour être insignifiant ! 


       
     

                                                                              Charlie CHAPLIN

     

     

     


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    Maintenant qu’à toutes les heures du jour et de la nuit des nouvelles catastrophiques parviennent du monde entier, c’est vrai qu’on peut avoir continuellement des raisons d’être triste. Mais à quoi sert cette tristesse ? Elle n’aidera personne. Il vaut mieux l’utiliser comme un stimulant pour trouver les moyens de se rendre utile.


    Et pour trouver les moyens de se rendre utile, chacun devrait déjà commencer par se débarrasser de ses soucis personnels dans lesquels il s’enferme comme dans une prison.

    L’état naturel de l’être humain doit être la joie, une joie dans laquelle il est en réalité plus sérieux, plus profond que ceux qui portent continuellement sur leur visage la trace de leurs préoccupations les plus légitimes soient-elles.

    Car pour arriver à cette joie il faut avoir appris, compris, que loin des désordres et des tribulations de la terre, il existe en nous une région où règnent la lumière, l’amour et la liberté.

    Et c’est en restant en contact avec cette région qu’on sera utile aux autres.

     

     

                                              

                                                                                   Omraam Mikhaël AÏVANHOV

     

       

     


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    Un vieux banc, au bord de la mer,
    Je m'assois pour regarder devant
    Pour sentir, pour me taire,
    Écouter les secrets du vent.

     

    C'est alors qu'elle s'est avancée,
    Elle s'est assise à côté de moi,
    D'un air sûr, elle s'est présentée,
    Je suis ta part d'ombre souviens-toi.


    Oh ce soir là, au bout du mystère,
    Côte pile, côte face,
    Ma part de paix et ma part en guerre,
    Se sont regardées en face.

     

    Trop longtemps en douleur
    L'une contre l'autre elles ont régné,
    Trop d'excès, trop de peur,
    Et si ce soir elles s'accordaient?


    Ma part d'ombre était revenue
    Est-ce qu'elle était là pour négocier?
    Moi longtemps j'avais cru
    Qu'elle finirait par se lasser.
     

     

    Cette part blessée, dorénavant,
    Je la prends dans mes bras en douceur.
    Je n'entends plus le bruit du vent,
    Maintenant j'entends battre mon cœur.


    Oh ce soir là, au bout du mystère,
    Côte pile, côte face,
    Ma part de paix et ma part en guerre,
    Se sont regardées en face.

     

    Trop longtemps en douleur
    L'une contre l'autre elles ont régné,
    Trop d'excès, trop de peur,
    Et si ce soir elles s'accordaient?


    Moi je suis le jour comme la nuit,
    Je sens ce besoin d'équilibre,
    La chaleur est la pluie,
    Le silence est le bruit.

     

    Entre ombre et lumière je me sens vivre.

     

    Un vieux banc, au bord de la mer,
    Je m'assois pour regarder devant
    Pour sentir, pour me taire,
    Écouter les secrets du vent.

     

    C'est alors qu'elle s'est avancée,
    Pour s'assoir à côté juste là,
    C'est moi qui lui ai parlé,
    Je suis ta part de lumière suis-moi.

      

     

     

     

    Paroles : Grand Corps Malade

    Interprète : Zaz

     

     

     

     

     


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     Photo : Sébastien MONCHAL, "Déguisé en pas moi" -   Son site : ici

     

       

     

    Soyez vous mêmes, les autres sont déjà pris !

    Oscar WILDE

     

     


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