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(c) Ptitsa
La vérité ne grimace jamais, ne juge pas, et ne fronce jamais les sourcils. Elle sourit. Elle rit. Elle fait de petits clins d’œil coquins, aussi. Mais surtout, elle aime, elle inspire et elle remplit.
Marie-Pier CHARRON
Marie-Pier CHARRON est l'auteur de "Matin magique". Une lecture gratuite qui ensoleille mon quotidien et que vous pouvez vous aussi recevoir en cliquant ICI.
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Maintenant qu’à toutes les heures du jour et de la nuit des nouvelles catastrophiques parviennent du monde entier, c’est vrai qu’on peut avoir continuellement des raisons d’être triste. Mais à quoi sert cette tristesse ? Elle n’aidera personne. Il vaut mieux l’utiliser comme un stimulant pour trouver les moyens de se rendre utile.
Et pour trouver les moyens de se rendre utile, chacun devrait déjà commencer par se débarrasser de ses soucis personnels dans lesquels il s’enferme comme dans une prison.L’état naturel de l’être humain doit être la joie, une joie dans laquelle il est en réalité plus sérieux, plus profond que ceux qui portent continuellement sur leur visage la trace de leurs préoccupations les plus légitimes soient-elles.
Car pour arriver à cette joie il faut avoir appris, compris, que loin des désordres et des tribulations de la terre, il existe en nous une région où règnent la lumière, l’amour et la liberté.
Et c’est en restant en contact avec cette région qu’on sera utile aux autres.
Omraam Mikhaël AÏVANHOV
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Un vieux banc, au bord de la mer,
Je m'assois pour regarder devant
Pour sentir, pour me taire,
Écouter les secrets du vent.
C'est alors qu'elle s'est avancée,
Elle s'est assise à côté de moi,
D'un air sûr, elle s'est présentée,
Je suis ta part d'ombre souviens-toi.
Oh ce soir là, au bout du mystère,
Côte pile, côte face,
Ma part de paix et ma part en guerre,
Se sont regardées en face.
Trop longtemps en douleur
L'une contre l'autre elles ont régné,
Trop d'excès, trop de peur,
Et si ce soir elles s'accordaient?
Ma part d'ombre était revenue
Est-ce qu'elle était là pour négocier?
Moi longtemps j'avais cru
Qu'elle finirait par se lasser.
Cette part blessée, dorénavant,
Je la prends dans mes bras en douceur.
Je n'entends plus le bruit du vent,
Maintenant j'entends battre mon cœur.
Oh ce soir là, au bout du mystère,
Côte pile, côte face,
Ma part de paix et ma part en guerre,
Se sont regardées en face.
Trop longtemps en douleur
L'une contre l'autre elles ont régné,
Trop d'excès, trop de peur,
Et si ce soir elles s'accordaient?
Moi je suis le jour comme la nuit,
Je sens ce besoin d'équilibre,
La chaleur est la pluie,
Le silence est le bruit.
Entre ombre et lumière je me sens vivre.
Un vieux banc, au bord de la mer,
Je m'assois pour regarder devant
Pour sentir, pour me taire,
Écouter les secrets du vent.
C'est alors qu'elle s'est avancée,
Pour s'assoir à côté juste là,
C'est moi qui lui ai parlé,
Je suis ta part de lumière suis-moi.Paroles : Grand Corps Malade
Interprète : Zaz
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Photo : Sébastien MONCHAL, "Déguisé en pas moi" - Son site : ici
Soyez vous mêmes, les autres sont déjà pris !
Oscar WILDE
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