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    Vous aimez la campagne ?
    Après Rodemack (ici), je vous convie à la découverte des environs du village de Preisch, toujours au Pays des Trois Frontières. Cette partie de la Moselle est ainsi nommée parce qu'elle se situe au carrefour de la France, du Luxembourg et de l'Allemagne.
     
     
    Comme souvent en ce moment, il y avait une lumière matinale extraordinaire ce jour-là, particulièrement limpide et changeante. J'ai fait la connaissance d'un paisible cheval tatoué, au ventre aussi rond et aux poils aussi blonds que les miens. Vous voulez voir ?
    Cliquez sur la photo ci-dessous pour m'emboîter le pas ...
     
     

     (c) Ptitsa
     

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    Il y a un rendez-vous que le zoisillon et moi ne manquerions plus qu'en cas de force majeure : celui de notre épisode quotidien de la série "Minuscules", diffusée dans "Ludozouzous" tous les midis sur France 5. Nous sommes devenus fans, archi-fans !

     

     

    Tantôt poétiques, tantôt drôles, souvent les deux, ces petits films d'animation de quelques minutes mettent en scène le monde des insectes avec humour et fraîcheur. La musique du générique à elle seule nous ravit et les personnages ont parfois de ces trognes !

     

     

    Je vous en mets ici deux épisodes, j'espère que vous pourrez les visionner de chez vous !

      

     

     

     

     

      

     


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    - On remercie un employé quand on n'est pas content de ses services. 
             
    - On passe des nuits blanches quand on a des idées noires. 
     
    - Pourquoi dit-on d'un pauvre malheureux ruiné qu'" il est dans de beaux draps" ? 
         
    - Pourquoi un bruit transpire-t-il avant d'avoir couru ? 
     
    - Quand un homme se meurt, on dit qu'il s'éteint. Quand il est mort, on l'appelle « feu ». 
         
    - Pourquoi lave-t-on une injure et essuie-t-on un affront ?
     
    - Pourquoi parle-t-on des quatre coins de la terre, puisque la terre est ronde ? 
      
    - Comment distinguer le locataire du propriétaire lorsque ces deux personnes  vous disent  :
     « Je viens de louer un appartement ? 
          
    - Comment peut-on faire pour dormir sur les deux oreilles ? 
     
    - Pourquoi, lorsque l'on veut avoir de l'argent devant soi, faut-il en mettre de côté ? 
     
    - Pourquoi dit-on : « embarras de voitures » quand il y a trop de voitures,  et « embarras d'argent » quand il n'y a pas assez d'argent ?  
     

     

    Elle n'est peut-être pas toujours très logique...  et je compatis pour ceux qui doivent l'apprendre, mais je l'aime et je partage cet hommage.

     

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    C'est une langue belle avec des mots superbes
    Qui porte son histoire à travers ses accents
    Où l'on sent la musique et le parfum des herbes
    Le fromage de chèvre et le pain de froment
     

     

    Et du Mont-Saint-Michel jusqu'à la Contrescarpe
    En écoutant parler les gens de ce pays
    On dirait que le vent s'est pris dans une harpe
    Et qu'il en a gardé toutes les harmonies

     

    Dans cette langue belle aux couleurs de Provence
    Où la saveur des choses est déjà dans les mots
    C'est d'abord en parlant que la fête commence
    Et l'on boit des paroles aussi bien que de l'eau

     

    Les voix ressemblent aux cours des fleuves et des rivières
    Elles répondent aux méandres, au vent dans les roseaux
    Parfois même aux torrents qui charrient du tonnerre
    En polissant les pierres sur le bord des ruisseaux

     

    C'est une langue belle à l'autre bout du monde
    Une bulle de France au nord d'un continent
    Sertie dans un étau mais pourtant si féconde
    Enfermée dans les glaces au sommet d'un volcan

     

    Elle a jeté des ponts par-dessus l'Atlantique
    Elle a quitté son nid pour un autre terroir
    Et comme une hirondelle au printemps des musiques
    Elle revient nous chanter ses peines et ses espoirs

     

    Nous dire que là-bas dans ce pays de neige
    Elle a fait face aux vents qui soufflent de partout,
    Pour imposer ses mots jusque dans les collèges
    Et qu'on y parle encore la langue de chez nous

     

    C'est une langue belle à qui sait la défendre
    Elle offre les trésors de richesses infinies
    Les mots qui nous manquaient pour pouvoir nous comprendre
    Et la force qu'il faut pour vivre en harmonie

     

    Refrain (2 fois)
    Et l'Île d'Orléans jusqu'à la Contrescarpe
    En écoutant chanter les gens de ce pays
    On dirait que le vent s'est pris dans une harpe
    Et qu'il a composé toute une symphonie

     

     

     


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    Je ne crois pas que la colère soit une solution aux problèmes,

    mais si le contenu de ce document est véridique,

    alors je comprends cette colère.    

     

     

     


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