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                                                        (c) Ptitsa

    07 06 08 [640x480]

     

     Varappe sur chevalet...

     

     

     

    07 05 12 [640x480]

       

    ... et contemplation de coulures de gouache sur les plinthes ! 

     

     

     


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                                                     (c) Ptitsa

    07 08 13 [640x480]

       

    Je suis un zartiste incompris

    par ma mère

     la première...

     

    Tout ça parce que z'utilise

    une cuiller comme pinceau

    et mon corps

    (ou le sien)

    (ou le bavoir)

    (ou la table)

    (ou les chats)

    (ou toute autre surface

    disponible à proximité)

    pour exprimer mon Art.

     

    Un art basé

    sur l'exploration de la matière.

    (petitpotesque, de préférence).

    Et sur les différentes techniques de tartinaze,

    expulsion, émiettaze,

    mélanze, expansion,

    prozection et pulvérisation 

    de ladite matière.  

      

     

       

     

     

     

     

    07 10 05 [640x480]

     

     

    Est-ce ma faute

    si le monde des zartistes zadultes est borné,

    encroûté dans son conventionnalisme crasse,

    aveugle à l'opulence novatrice de ma créativité... explosive?

    Ze vous le demande...

     

     

     

     

     

    Voir : "Graines de zartiste (1) : premières zexpériences"

     


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    Vue-panoramique 0290 [1024x768]

       (c) Les Petits Zartistes Associés

     

     

     

     

     

     

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    16 commentaires
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     J'ai lu hier une histoire de graines illustrée de photos, toutes magnifiques, sur un blog qui est pour moi un "incontournable" de mes virées en blogosphère. C 'était ici...

    Elle m'a rappelé ce texte :

     

     

    "Écoutez!

    Voici que le semeur est sorti pour semer.


    Et il advint, comme il semait,

    qu'une partie du grain est tombée au bord du chemin,

    et les oiseaux sont venus et ont tout mangé.

     

    Une autre est tombée sur le terrain rocheux

    où elle n'avait pas beaucoup de terre,

    et aussitôt elle a levé,

    parce qu'elle n'avait pas de profondeur de terre;

    et lorsque le soleil s'est levé, elle a été brûlée et,

    faute de racine, s'est desséchée.

     

    Une autre est tombée dans les épines,

    et les épines ont monté et l'ont étouffée,

    et elle n'a pas donné de fruit.

     

    D'autres sont tombés dans la bonne terre,

    et ils ont donné du fruit en montant et en se développant,

    et ils ont produit l'un trente, l'autre soixante, l'autre cent."


    (...)

     

    Et il leur dit:

    "Vous ne saisissez pas cette parabole? Et comment comprendrez-vous toutes les paraboles ?

    Le semeur, c'est la Parole qu'il sème.

     

    Ceux qui sont au bord du chemin où la Parole est semée, sont ceux qui ne l'ont pas plus tôt entendue que Satan arrive et enlève la Parole semée en eux.

     

    Et de même ceux qui sont semés sur les endroits rocheux, sont ceux qui, quand ils ont entendu la Parole, l'accueillent aussitôt avec joie, mais ils n'ont pas de racine en eux-mêmes et sont les hommes d'un moment: survienne ensuite une tribulation ou une persécution à cause de la Parole, aussitôt ils succombent.

     

    Et il y en a d'autres qui sont semés dans les épines: ce sont ceux qui ont entendu la Parole, mais les soucis du monde, la séduction de la richesse et les autres convoitises les pénètrent et étouffent la Parole, qui demeure sans fruit.

     

    Et il y a ceux qui ont été semés dans la bonne terre: ceux-là écoutent la Parole, l'accueillent et portent du fruit, l'un trente, l'autre soixante, l'autre cent."

     

     

     

                                                           (Evangile selon St Marc, 4, 1-20)

     

     

     

     

     


    4 commentaires
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    Eté 1868, quelque part dans le Grand Ouest
    Il a sauté sur son cheval pour disparaître en un geste
    La porte du saloon claque encore, dehors le vent fouette la poussière
    Lui il galope vers son sort sans jamais regarder derrière
    Est-ce qu'il cherche ou est-ce qu'il fuit, est-il sûr ou incertain
    Est-ce qu'il tente de rattraper ou d'échapper à son destin
    A quoi ressemble son avenir, une évidence ou un mystère
    Il se fabrique un empire, il est fait d'ombre ou de lumière

     

     

    De l'ombre ou de la lumière
    Lequel des deux nous éclaire
    Je marche vers le soleil
    Dans les couleurs de l'hiver

     

    De l'ombre ou de la lumière
    Depuis le temps que j'espère
    Retrouver dans un sourire
    Toutes les lois de l'univers

     

     

    C'est l'hiver en 2008, quelque part à Paris
    J'ai démarré la voiture pour échapper à ce temps pourri
    La porte du café tremble encore, dehors la pluie fouette le bitume
    A chacun sa ruée vers l'or, j'accélère à travers la brume
    Puisque mon temps est limité, mes choix doivent être à la hauteur
    C'est une course contre la montre ou une course contre la peur
    C'est toujours la même chevauchée, on vise la lueur droit devant
    Même si cette quête est insensée, je cours pour me sentir vivant

     

     

    De l'ombre ou de la lumière
    Lequel des deux nous éclaire
    On marche vers le soleil
    Dans les couleurs de l'hiver

    De l'ombre ou de la lumière
    Depuis le temps que j'espère
    Retrouver dans un sourire
    Toutes les lois de l'univers

     

     

    On court à travers les siècles, mais c'est toujours la même chevauchée
    As-tu peur que la route s'achève, mais cette course est insensée
    As-tu mis un nom sur toutes les lèvres, les lèvres

     

     

    De l'ombre ou de la lumière
    Des astres qui nous éclairent
    On marche vers le soleil
    Dans les couleurs de l'hiver

    De l'ombre ou de la lumière
    Depuis le temps qu'on espère
    Retrouver dans un sourire
    Toutes les lois de l'univers
     

    Retrouver dans un sourire
    Toutes les lois de l'univers

      

     

     

      

      Grand Corps Malade / Calogero

     

     

     

     

     

     

     

     


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