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(c) Ptitsa - Une autre photo de la même série ici
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Bonus!Cliquez sur les jours du calendrier pour ouvrir les graines
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Puisque l'hiver touche à sa fin, voici un dernier hommage en images à ce grand Mage Blanc... Le diaporama est un peu long à s'ouvrir mais si vous lui en laissez le temps, votre patience sera récompensée : ces photos sont juste sublimes.
Et n'oubliez pas de mettre le son...
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Après ma patate d'amour de la dernière fois,
aujourd'hui je vous propose...
(c) Ptitsa
... les derniers marrons glacés de la saison !
De même provenance et tout aussi bruts de produits chimiques...
Alors... qui n'en veut de mon petit dessert sauvage ?
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Par *Sylvie Ptitsa* dans Graines d'à plusieurs (pour "Passeurs d'espoirs") le 27 Février 2010 à 23:09
Les éléments dont notre corps est formé et tout ce qui nous permet de subsister, l’eau, la nourriture, l’air que nous respirons, la lumière et la chaleur du soleil, les matériaux dont nous faisons nos vêtements, nos maisons, nos outils, etc., nous devons tout à la nature. Certaines personnes peuvent être très fières, et à juste titre, de leurs talents, de leur ingéniosité, mais d’où ont-elles tiré les matériaux à partir desquels elles fabriquent leurs instruments, leurs appareils et même leurs œuvres d’art ? De la nature.
La nature nous donne tout. Mais ce que nous prenons est inscrit en détail quelque part. Ce sont des dettes que nous contractons auprès d’elle, et nous devons nous acquitter de ces dettes.
Comment ? Avec une monnaie qui s’appelle le respect, la reconnaissance, l’amour et la volonté d’étudier tout ce qui est écrit dans son grand livre. Payer signifie donner quelque chose en échange, et tout ce que notre cœur, notre intelligence, notre âme et notre esprit sont capables de produire de bon peut être un paiement. Dans le plan physique nous sommes limités, et la nature ne nous demandera pas de rendre la nourriture, l’eau, l’air ou les rayons du soleil dont nous avons bénéficié ; mais dans le plan spirituel nos possibilités sont infinies, et là nous pouvons même rendre au centuple tout ce qu’elle nous a donné.
Omraam Mikhaïl AÏVANHOV
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Dans mon jeune temps, comme disent les vieux
J' trouvais qu'maman était vieux jeu
Dans mon jeune temps, avant qu'sois grande
J' fuyais les grands qui voulaient me prendre
Dans mon jeune temps, du temps qu'j'étais petite
Je voulais pas grandir trop vite
Devenir sérieuse, parler d'argent
J'étais heureuse dans mon jeune temps
Dans mon jeune temps, j' croyais qu' l'amour
C'était gratuit et pour toujours
Et j' trouvais pas ça important
De dire "je t'aime" à mes parents
Dans mon jeune temps, je fuyais tout
C' qui s' penchait pour m'faire un bisou
Et lorsque hélas, on m'embrassait
Dans une grimace, je m'essuyais
Dans mon jeune temps, les yeux rivés
Sur une bande dessinée
J'oubliais tout c'qui m'entourait
Tous mes toutous, tous mes jouets
Même le papier peint tout nouveau
Celui que j'avais choisi moi-même
Celui qu'mon père sur l'escabeau
Avait posé non sans problème
Dans mon jeune temps, je voyais pas
Tout c' qu'on faisait pour me faire plaisir
J'croyais qu' le plaisir était là
Et qu'il suffisait d'se servir
Qu'il était comme dans un gros plat
Que le bon Dieu nous préparait
Dans mon jeune temps, je savais pas
Combien coûtait ce que j'mangeais
Dans mon jeune temps, quand ma grand-mère
Venait me radoter le sien
Et qu'elle se rappelait mon grand-père
Avec des yeux comme plein d'chagrin
Dans mon jeune temps, j'comprenais pas
C'que voulais dire "mélancolie"
J'croyais qu'y avait des mots comme ça
Qui étaient là juste pour faire joli
Dans mon jeune temps, j'croyais qu'la vie
C'était très long, mais j'ai grandi
Et voilà que j'ai l'impression
De manquer d' jours et de saisons
Voilà que j' parle comme les vieux
Avec des larmes dans les yeux
De mon mariage, de ma carrière
Et de tout c'que j'ai pas pu faire
Y a du tout nouveau papier peint
Dans la chambre de Marie-Hélène
Rien qu' parce qu'elle m'a dit y a deux semaines
Qu'elle raffolait pas de l'ancien
Dans mon jeune temps je savais pas
Qu'y aurait fallu que j'dise merci
J'irais maintenant l'dire à papa
S'il était pas déjà parti
Dans mon jeune temps, comme disent les vieux
J'trouvais qu' maman était vieux jeu
Elle me disait d' faire attention
Chaque fois que j' sortais d'la maison
Et voilà que j' fais la même chose
Avec Marie-Hélène et Rose
Et je les embrasse même si
Elles grimacent, et puis s'essuient ...
Linda LEMAY
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