Si le mal finit par être vaincu, c’est que Dieu lui a refusé l’immortalité.
Toute parole, tout acte de haine peut être comparé à une pierre jetée en l’air : plus le temps passe, moins elle a de force pour s’élever. Au contraire, une bonne parole, un acte de bonté peut
être comparé à une pierre que l’on jetterait du haut d’une tour : avec le temps son mouvement et sa puissance s’accélèrent. C’est là le secret du bien : il est faible au commencement,
mais tout-puissant à la fin. Le mal au contraire est tout-puissant au début, mais il va en s’affaiblissant.
Omraam
Mikhaël AÏVANHOV
votre commentaire