• (c) Ptitsa




    Pour Erick, "Artisan de l'ailleurs"...
    Disparu de la blogosphère...
    Mais dont le blog atteste, toujours et encore,
    que celui qui est libre
    l'est d'abord "dans sa tête"
    et que celui-là
    rien ne l'emprisonne.

    Avec tout mon respect,



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                                                    Pour Nadia-vraie, dont ils sont les amis. 


























































    Photos : Ptitsa




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                                                                          Pour Francis ... sourire. ;)




    Quelle sorte de voyageur êtes-vous ?

    Faites-vous vos bagages...




    ... à l'italienne...




    ou à la suisse ?...





    A demain... nous serons arrivés à destination !


                                                                                           

      Photos : Ptitsa


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                                                                                                             (c) Ptitsa



    Notre famille colibri prend son envol vers des contrées plus chaudes.
    En notre absence, les articles continueront à paraître chaque week-end sur "La Terre vue du sol".

    Ici, au jardin, les graines ne fleuriront plus chaque jour comme à l'ordinaire, mais seulement chaque samedi et chaque dimanche.

    Le dimanche, c'est l'un d'entre vous qui sera l'invité d'honneur de ce jardin. Hier un autre oiseau... Et dimanche prochain ?... Il n'y a qu'un seul moyen de le savoir... 

    A bientôt, prenez bien soin de vous.
    Vous me manquez déjà.




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                                                      Pour l'Oiseau Netique Epiglotaire
                                                  d'un pays douceur feu ambre épices ...




    Un oiseau s'envole,
    II rejette les nues comme un voile inutile,
    II n'a jamais craint la lumière,
    Enfermé dans son vol
    II n'a jamais eu d'ombre.


    Coquilles des moissons brisées par le soleil.
    Toutes les feuilles dans les bois disent oui,
    Elles ne savent dire que oui,
    Toute question, toute réponse
    Et la rosée coule au fond de ce oui.


    Un homme aux yeux légers décrit le ciel d'amour.
    Il en rassemble les merveilles
    Comme des feuilles dans un bois,
    Comme des oiseaux dans leurs ailes
    Et des hommes dans le sommeil.


    Paul ELUARD



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