• Vous avez de l'humour ?


    Si oui, mais seulement à ces deux conditions, cliquez sur le colibri...
    sinon, c'est à vos risquezépérils !!






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  •                     J'ai aimé cette histoire... ses sonorités, ses héros, sa morale... Je vous la fais partager.



    Un jour, Täne Mahuta marchait à travers la forêt.
    Il regardait ses enfants les arbres s’élever vers le ciel et il remarqua qu’ils commençaient à être malades, des insectes les mangeaient.
    Il parla à son frère, Täne Hokahoka, qui appela tout ses enfants les oiseaux. Tane Mahuta leur parla :

    « Quelque chose mange mes enfants, les arbres. J’ai besoin que l’un de vous descende de la cime des arbres et vive sur le sol, alors mes enfants seront sauvés et votre maison aussi. Qui viendra ? »

    Tout était silencieux et aucun oiseau ne parlait.
    Täne Hokahoka se tourna vers Tui :

    « E Tui, descendras-tu de la cime des arbres ?»

    Tui regarda vers la cime des arbres et vit le soleil filtrer entre les feuilles. Tui regarda vers le sol sombre et froid et frissonna.

    « Kao, Täne Hokahoka, il y fait trop noir et je suis effrayé par le noir. »

    Tout était silencieux et aucun oiseau ne parlait.
    Täne Hokahoka se tourna vers Pükeko :

    « Pükeko, descendras-tu de la cime des arbres ?»

    Pükeko regarda vers la cime des arbres et vit le soleil filtrer entre les feuilles. Pükeko regarda vers le sol froid et humide et frissonna.

    «  Kao, Täne Hokahoka, c’est trop humide et je ne veux pas me mouiller les pattes. »

    Tout était silencieux et aucun oiseau ne parlait.
    Täne Hokahoka se tourna vers Pipiwharauroa :

    « Pipiwharauroa, descendras-tu de la cime des arbres ?»

    Pipiwharauroa regarda vers la cime des arbres et vit le soleil filtrer entre les feuilles. Pipiwharauroa regarda autour de lui et vit sa famille.

    « Kao, Täne Hokahoka, car je suis occupé en ce moment à construire mon nid. »
     
    Tout était silencieux et aucun oiseau ne parlait.
    Grande était la tristesse dans le cœur de Täne Hokahoka, car il savait que si aucun de ses enfants ne descendait de la cime des arbres, non seulement son frère perdrait ses propres enfants, les arbres, mais les oiseaux n’auraient plus de maison.

    Täne Hokahoka se tourna vers Kiwi :

    « E Kiwi, descendras-tu de la cime des arbres ?»

    Kiwi regarda vers la cime des arbres et vit le soleil filtrer entre les feuilles. Kiwi regarda autour de lui et vit sa famille. Kiwi regarda la terre froide et humide. Il regarda une fois de plus autour de lui, se tourna vers Täne Hokahoka et dit :

    « J’irai. »

    Grande fut la joie dans les cœurs de Täne Hokahoka et Täne Mahuta, car ce petit oiseau leur donnait de l’espoir. Mais Täne Mahuta sentit qu’il devait prévenir Kiwi de ce qui allait arriver.

    « E Kiwi, est-ce que tu réalises que, si tu fais ça, tu devras avoir des jambes fortes et épaisses pour pouvoir découper les bûches et marcher sur le sol, tu perdras tes magnifiques plumes colorées et tes ailes, tu ne pourras plus jamais retourner sur la cime des arbres et tu ne verras plus jamais la lumière du jour. »

    Tout était silencieux, aucun oiseau ne parlait.

    Kiwi regarda une dernière fois le soleil filtrer à travers les feuilles et lui dit un adieu silencieux. Kiwi regarda les autres oiseaux et leurs plumes colorées et leurs dit un adieu silencieux. Il regarda autour de lui encore une fois et se tourna vers Täne Hokahoka et dit :

    « J’irai. »
    Alors Täne Hokahoka se tourna vers les autres oiseaux et dit :

    « Tui, parce que tu étais effrayé pour descendre de la cime des arbres, à partir de maintenant tu porteras deux plumes blanches à la gorge comme marque de ta couardise.
    Pukeko, puisque tu ne voulais pas avoir tes pieds mouillés, tu vivras pour toujours dans les marais.
    Pipiwharauroa, parce tu étais trop occupé à construire ton nid, à partir de maintenant, tu ne construiras plus jamais un autre nid, mais tu déposeras tes œufs dans les nids des autres.
    Mais toi Kiwi, par ton grand sacrifice tu deviendras le plus connu et le plus aimé de tous les oiseaux. »


                                                                 Traduit par  :
    Thomas





     


    Photo Marie et David

       


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  •  Celui qui a déplacé la montagne, c’est celui qui a commencé par enlever les petites pierres. 

                                                                Proverbe chinois


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  • Tu as l'âge de tes cratères
    O vieille lune
    Sage femme de l'univers
    S'il en est une
    Tu règnes sur le cours des mers
    Et sur Neptune
    Que caches-tu dans tes arrières ?
    Une fortune ?
    Méfie-toi de ceux qui plantèrent
    Dedans tes dunes
    Leurs oriflammes guerrières
    Bordel à plume !
    La vanité de ver de terre
    Inopportune
    De ces gros pieds buveurs de bière
    Sans gêne aucune


    Que çui qu'a dit con comm' la lune
    Aille en enfer
    Et si à chacun sa chacune
    C'est toi que j' préfère
    J'aime à la nuit et sans costume
    De bain de mer
    Nager dans tes reflets d'écume
    Dans ta lumière
    Comme si je volais dans les plumes
    D'un être cher
    Fait d'une féerie de lagunes
    De cirques d'hiver


    Brûlant d'espoir de boire tes brumes
    Qui désaltèrent
    Le nectar du vin que l'on hume
    Quand vient brumaire
    Mon âme y déambule en fun-
    Ambule délétère
    Que le chant libre comme l'air d'une
    Rose éphémère
    En volutes d'encens qui fument
    Dans les airs
    A toi muse entre toutes, ô lune
    Te soit offert...


    Que çui qu'a dit con comm' la lune
    Aille en enfer
    Et si à chacun sa chacune
    C'est toi qu' j'préfère !



                                                La Tordue




    Pour écouter la chanson, cliquez sur la lune... ; )



                                                                                                  (c) Ptitsa


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  •  
    Tistaaaaaaaa...

                                  Warglé...

                                                        Glakeops !

                                                                                   Glopatié !

    Data....

                         Niargueul...

                                                      Bekbeh !

                                                                                 Glopiglopiglop !!!




                                               NON !
                       Ce n'est pas un dialecte extra-terrestre...
                                C'est la langue du FUTUR !


                        Mais vous ne pouvez pas comprendre...


                                                                                                                    (c) Ptitsa


                                          Vous êtes trop VIEUX !!!


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