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    J'ai beau être privilégiée depuis près de 15 jours, pour l'instant, je n'ai toujours pas trouvé comment insérer des diaporamas à l'intérieur de mes articles... boooouh !

    Alors en attendant que je trouve la bonne formule (ou qu'un(e) initié(e) me la communique), vous pouvez aller voir celui que je vous destinais aujourd'hui en cliquant
    ici...

    A certains d'entre vous, je l'avais déjà envoyé par e-mail... Pour ceux-là, et pour ceux qui en ont le temps et l'envie, il y a une deuxième graine à ouvrir... en cliquant sur la photo ci-dessous. 



     

     

                                                                                  (c) Ptitsa


    Bonne fête à tous les papas en général
    et au mien en particulier
     !



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  • Non, ne crois pas, fillette,
    me retenir encore
    dans tes rues sans violettes,
    dans ton triste décor.
    N'essaie pas de me suivre,
    déserte mes rivages,
    loin de toi, je veux vivre
    de plus beaux paysages.

    Petite fille des sombres rues, éloigne-toi,
    Petite fille aux yeux perdus, tu m'oublieras.

    J'ai trop longtemps vécu
    dans de pauvres ruelles,
    trop longtemps attendu
    un dernier arc-en-ciel.
    J'ai besoin de soleil
    et d'horizons moins gris,
    je veux voir les merveilles
    que, près de toi, j'oublie.

    Petite fille des sombres rues, éloigne-toi,
    Petite fille aux yeux perdus, tu m'oublieras.

    Je ne suis pas de ceux
    que chasse la lumière,
    et qui vivent heureux
    un éternel hiver
    De l'amour je ne veux
    que les filles des rivières,
    lorsque j'aime les yeux,
    j'aime aussi la chaumière.

    Petite fille des sombres rues, éloigne-toi,
    Petite fille aux yeux perdus, tu m'oublieras.

    Nos chemins se séparent,
    entends, la vie m'appelle,
    je quitte tes trottoirs
    et tes grises dentelles.
    Je pars pour des royaumes
    où l'on m'attend peut-être,
    où le bonheur embaume,
    et donne un air de fête.

    Petite fille des sombres rues, éloigne-toi,
    Petite fille aux yeux perdus, tu m'oublieras.




                                                               Renaud SECHAN


    Pour l'écouter en musique, cliquez ici.


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  • Un homme tomba dans un trou et se fit très mal.

    Un cartésien se pencha et lui dit :
    « Vous n'êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou ».

    Un spiritualiste le vit et dit :
    « Vous avez dû commettre quelque péché».

    Un bouddhiste le vit et dit :
    « C'est votre karma, je compatis».

    Un scientifique calcula la profondeur du trou.

    Un journaliste l'interviewa sur ses douleurs.

    Un yogi lui dit :
    « Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur ».

    Un médecin lui lança deux comprimés d'aspirine.

    Une infirmière s'assit sur le bord et pleura avec lui.

    Un thérapeute l'incita à trouver les raisons
    pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber dans le trou.

    Une pratiquante de la pensée positive l'exhorta :
    « Quand on veut, on peut ! »

    Un optimiste lui dit :
    « Vous avez de la chance : vous auriez pu vous casser une jambe ».

    Un pessimiste ajouta : « Et ça risque d'empirer ».

    Puis un enfant passa
    et lui tendit la main...




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  •                                                                                                         (c) Ptitsa


    Les arbres ont des histoires à nous murmurer...
    Les entendez-vous, quand vous passez près d'eux ?
    En cliquant sur les branches de celui-ci,
    vous l'entendrez raconter la sienne.
    C'est
    Florence qui l'a (re)cueillie.
    Merci à elle...



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  • Sur une consigne de
    "La petite fabrique d'écriture" :
    Ecrire un texte en utilisant la négation; faire son portrait à manière de Marie-Paule Belle dans la chanson : "Je ne suis pas Parisienne".




    Je ne suis pas grande fille

    Peccadille

    Peccadille

    Mais impossible de me voir

    Chez les aut’, dans les miroirs !

     

    Je ne suis pas filiforme

    L’honnête homme

    L’honnête homme

    Avec moi, s’il s’y prend bien

    Trouve de quoi remplir ses mains !

     

    Je ne suis ni blonde ni brune

    Dans mes plumes

    Dans mes plumes

    C’est la flamme qui domine

    Ca me donne bonne mine !

     

    Je ne suis pas andalouse

    Pas jalouse

    Pas jalouse

    Des belles sombres et altières

    Dedans, dehors, je suis claire !

     

    Je ne suis pas cachottière

    Pour me plaire

    Pour me plaire

    Faut parler et marcher droit

    Sinon, c’est moi qui m’en va !

     

    Je ne suis pas très docile

    Pas facile

    Pas facile

    De m’ faire entrer dans le moule

    Comme disent les ados : « Ca m’ saoûle » !

     

    Je ne suis pas très rapide

    C’est stupide

    C’est stupide

    Je collectionne les retards

    Les horaires m’ donnent le cafard !

     

    Je ne suis pas bien carrée

    C’est raté

    C’est raté

    Mais pour m’ faire tourner en rond

    Faut s’ lever de matin bon !

      

    Je n’ suis pas bonne ménagère

    Ô ma mère !

    Ô ma mère !

    « Que t’a-t-elle donc appris ?»,

    Me d'mande sans cesse mon mari !

     

    Bref, je ne suis pas rasoir

    Pouvez m’ croire

    Pouvez m’ croire

    Avec moi, on n’ s’ennuie pas

    Je vis d'abracadabras !

      

    Comme ne suis ni défaitiste

    Ni fumiste

    Ni fumiste

    Vot’ consigne eût été triste

    Qu’ j’aurais pas  fait l’exercice !

       

    Je n’ suis vraiment pas polie

    Mais tant pis

    Mais tant pis

    Pardonnez, mes chers lecteurs,

    J’en appelle à vot’ bon cœur !

       

    Je n’ai pas petit caquet

    C’est un fait

    C’est un fait

    Mais avouez, les zamis,

    Qu’avec moi vous avez bien ri !


    Cui cuiiiiiiii !!



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